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Points of yoUSA

8 juillet 2019

Green Escape fournée 2019

 

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En fin d'année dernière, je vous ai relaté la cuvée 2018 du Green Escape, l'ex Country Rendez-vous Festival de Craponne.

L'heure est venue de nous soucier de ce qui nous attend là-bas, ce mois-ci.

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L'affiche me fait toujours de l'effet.

Ambiance un peu forestière, musiciens allure bluegrass.

La forêt entoure Craponne : du bois, des scieries, le relief, ...

Dans la pinède au bord du festival, les amoureux du bluegrass établissent chaque année leur quartier, une semaine avant de rejoindre le festival de la Roche sur Foron. Bref, ici, eux ou leurs comparses se délectent de jams improvisées. Ainsi au cours de la journée, les bois retentissent de standards de la musique bluegrass ou assimilée. Nous y sommes les bienvenus !

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Je vous livre ici le programme extrait de du site du festival Green Escape.

vendredi

samedi

samedi2

dimanche

dimanche2---

Un programme varié tant au niveau des musiques que de l'origine des artistes.

Cela fait toujours réagir. Les puristes de country attendent une exclusivité de cette musique, alors qu'aujourd'hui son public ne se renouvelle pas. D'autres s'interrogent de l'opportunité d'accueillir dans ce cadre telle musique pourtant américaine. Il y aura toujours à redire. Sans parler de ceux qui attendent plus d'audace. Comment satisfaire tout ce monde, tout en assurant la viabilité et la pérénité de cet événement ?

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Je vous invite maintenant à éplucher le programme de façon à découvrir les groupes qui vont vous faire vibrer ainsi que ceux qui aiguisent votre curiosité. Consultez la page facebook.

Pour ma part, Beth Hart m'attire, depuis le temps que j'entends parler d'elle. Saura-t-elle me ravir ?

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POST-FACE

Ce blog traite des musiques américaines.

Au départ (ici), il relate un voyage familial aux USA, en 2007, en Wyoming, Colorado et South Dakota. Si vous voulez démarrer le voyage, ici.

La liste des interviews traduites est accessible ici, parce que, tout le long de ce périple de trois semaines, nous avons réalisé des interviews  d'américains rencontrés sur le chemin.

Depuis, voici les artistes américains renommés interviewés en France et plus précisément en région rennaise. Ils sont classés par ordre alphabétique du prénom :

Amber Digby (autre article à l'occasion de Craponne)Audie Blaylock 

Bayou Roux - Bleu Edmondson - Bob Jones - Bruce Robison & Kelly Willis 

 Caitlin Nicol-Thomas -  Carl Clay Caulkins - Carrie Hassler

  Dan Albro -  David Evans - Denise Marie

Emmylou Harris 

 Franck Solivan

Gary P Nunn

Jake Penrod - JB & The Moonshine Band - Jeason Meadow - Jeff Scroggings & Colorado - Joan Kennedy - Joanna Smith - John David Kent - Justin Trevino

Kellie Rucker 

 Liane Edwards

M. Callaghan - M. Soul - Mark Chesnutt - Mickael Jerome Browne - Mike Blakely - Mike Greene - Moot Davis

 Niamh Lynn

 Pine Leaf Boys 

 Randy Thompson -  Rob Ryan Roadshow - Ronnie Bowman - Rick Trevino

Sally et Chris Jones - Samm Riggs - Sarah Savoy - Stephanie Urbina Jones   

 The Mavericks - The Savoy Family Cajun Band - Tony Lewis - Trent Willmon 

 Washboard Union - WC Edgar - Will Banister - Whiskey & Women   

 Zane Williams  

Lesquels connaissez-vous pour les avoir entendus, écoutés, rencontrés ?

On en reparle ?

 

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Ce blog a été

imaginé,

conçu

par ma fille Hélène,

tant pour son architecture

que pour le concept des trois questions

qui cloturent chaque interview.

Qu'elle en soit remerciée !

 

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9 mai 2019

L'American Tours Festival 2019 approche, retour sur celui de 2018

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Depuis quelques années l'American Tours Festival a pris un tournant dans son organisation. En effet, dans sa programmation, il fait fort pour attirer à lui un public toujours plus vaste. Le festival ne lésine pas pour s'assurer de sérieuses têtes d'affiches :

en 2016, c'était Johnny Halliday

en 2017, ZZ TOP et les Insus,

en 2018, Lenny Kravitz et Deep Purple.

 

 

Cette année, pas moins que le groupe Scorpions pour attirer les foules (nostalgiques).

Pour ma part, je reste plutôt attaché à la musique country ainsi qu'au rockabilly, blues ou jazz.

Je viens à Tours principalement pour la soirée canadienne et aussi pour y danser country. J'observe, par ailleurs, que la danse partner est de nouveau au menu.

Je ne manquerai pas de visiter les autres scènes pour y découvrir des groupes ou artistes qui seront aussi à l'affiche dans d'autres lieux en France. J'atire votre attention sur la partie off du festival, qui se joue, à la fermeture de celui-ci, à l'espace biker. Je ne suis pas sûr qu'elle a bien lieu puisque je n'en trouve pas trace.

Bref, je porterai mon attention en direction des Road Hammers, d'Aaron Goodwin et des The Abrams.

 

Voici le programme en version consultable en ligne. Il  permet de voir tout ce que nous réserve ce festival. On n'a pas le temps d'être partout parce qu'il y a tant à voir, entendre, pratiquer. Je ne m'attarderai pas sur le phénomène biker. Bref, il y en a pour tous les goûts, bien évidemment dans le cadre de la culture dite américaine.

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Revenons en arrière, en 2018

L'année dernière, donc, j'ai pu fureter dans le festival. Seulement, je n'étais pas intéressé par Lenny Kravitz et Deep Purple.

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Haylen

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Je l'ai découverte dans le festival Off Roofestitours (cette partie off), une fois que le festival lui-même fermait boutique, ce vendredi soir.

A peine déjà commencé, de la pêche ! Elle sait se faire entendre.

 

 Le public encore alerte, vibre, accompagne le groupe sur les titres connus.

La guitariste casse 2, ou 3 cordes au cours du show. CommDSC06616e au stand dans les 24h du Mans (quelle comparaison !), le staff l'aide à les changer en un temps record. L'artiste, lui-même n'en revient pas.

 

 

 

 

 

 Rayonnante dans sa tenue... rouge en cette heure tardive. Tandis que le contrebassiste exerce sur un instrument blanc : c'est pas courant. Il sait se faire entendre.

Je n'oublie pas non plus le batteur.

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Nico Chona

DSC06708Un groupe qui déménage découvert encore en Off, chez les bikers.

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DSC06710Je ne retrouve pas de notes prises sur mon calepin. Je vous laisse vous en faire une idée.

 

 

 

 

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Subway

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Ils annoncent être un groupe qui joue des mélodies des années 40 à 60.

Cela résonne à mes oreilles. En milieu connu !

Les morceaux sont des versions originales de ceux interprétés en leur temps par Johnny, Dick Rivers, Richard Anthony et les autres.

 Du rockabilly.

 Et voilà maintenant qu'ils descendent de la scène.

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 Cora Lynn

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Et si on dansait ce soir.

La pêche.

Des rythmes endiablés puis un morceau tender.

 

Et cela repart. La sueur perle au front vue la chaleur dans la salle, et à plus forte raison sur la scène. Elle coule dans mon dos.

Le rouge partagé par les membres du groupe a t'il un effet sur la musique et sur l'énergie partagée ?

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 Bailey Dee

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DSC06726Voici un groupe agréable à écouter. Les morceaux que je vous livre m'ont séduits, et vous ?

 

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Jungle Revival

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Voici un groupe qui nous a donné de nombreuses reprises. Des reprises du groupe mythique des années 60, Creedence Clearwater Revival

Que dire de plus ?

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Ne serions-nous pas en territoire connu ? En tout cela remue le passé... Je veux dire les souvenirs.
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Gord Brandford

 

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Je n'ai pas pu accéder au site, avec l'appareil photo. Il faudra vraiment que je demande l'accréditation à l'avenir.

Un morceau de Johnny Cash.

A l'interlude le groupe joue du Dire Straits lors du morceau sur le diable au violon.

Plus tard, un des tubes de Gord.DSC06606

Le public applaudit pour Lips So Close.

Au départ du show, je suis déçu : beaucoup d'électrique. En fin, je suis réconcilié après avoir entendu quelques-uns de ses morceaux célèbres.

A l'avenir, je serai plus attentif à cet artiste.DSC06610Les photos que je vous livre ici sont celles prises lors de la Canadian Night, du samedi soir. Gord vient écouter les artistes en toute simplicité.

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Dan Davidson

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DSC06678Dan Davisdon est connu du public danseur country pour certains de ses morceaux que nous danson, comme, Found ou  Let's Go There (Je n'ai pas pu mettre ma propre vidéo. Etrange !)

 

 

 

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Meghan Patrick

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DSC06699Elle commence son show par l'harmonica.

Je me laisse séduire par l'instrument, la musique et la chanteuse.

 

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DSC06705Des jeux de voix, comme la country nous réserve.

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Alors, je vous retrouve là-bas ?

Je veux dire à l'American Tours Festival ?

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POST-FACE

Ce blog traite des musiques américaines.

Au départ (ici), il relate un voyage familial aux USA, en 2007, en Wyoming, Colorado et South Dakota. Si vous voulez démarrer le voyage, ici.

La liste des interviews traduites est accessible ici, parce que, tout le long de ce périple de trois semaines, nous avons réalisé des interviews  d'américains rencontrés sur le chemin.

Depuis, voici les artistes américains renommés interviewés en France et plus précisément en région rennaise. Ils sont classés par ordre alphabétique du prénom :

Amber Digby (autre article à l'occasion de Craponne)Audie Blaylock 

Bayou Roux - Bleu Edmondson - Bob Jones - Bruce Robison & Kelly Willis 

 Caitlin Nicol-Thomas -  Carl Clay Caulkins - Carrie Hassler

  Dan Albro -  David Evans - Denise Marie

Emmylou Harris 

 Franck Solivan

Gary P Nunn

Jake Penrod - JB & The Moonshine Band - Jeason Meadow - Jeff Scroggings & Colorado - Joan Kennedy - Joanna Smith - John David Kent - Justin Trevino

Kellie Rucker 

 Liane Edwards

M. Callaghan - M. Soul - Mark Chesnutt - Mickael Jerome Browne - Mike Blakely - Mike Greene - Moot Davis

 Niamh Lynn

 Pine Leaf Boys 

 Randy Thompson -  Rob Ryan Roadshow - Ronnie Bowman - Rick Trevino

Sally et Chris Jones - Samm Riggs - Sarah Savoy - Stephanie Urbina Jones   

 The Mavericks - The Savoy Family Cajun Band - Tony Lewis - Trent Willmon 

 Washboard Union - WC Edgar - Will Banister - Whiskey & Women   

 Zane Williams  

Lesquels connaissez-vous pour les avoir entendus, écoutés, rencontrés ?

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Ce blog a été

imaginé,

conçu

par ma fille Hélène,

tant pour son architecture

que pour le concept des trois questions

qui cloturent chaque interview.

Qu'elle en soit remerciée !

 

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21 février 2019

James House au Mans, à l'occasion du salon Country Western, en février 2019

Ce mois-ci, je suis allé au salon Country Western du Mans

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J'avais donc emmené mon nécessaire à filmer et à enregistrer. J'avais ciblé James House plutôt que les Speedbuggy USA parce que sa musique me correspondait plus. Je n'ai pas été démenti. Je ne me suis pas retrouvé dans la prestation du groupe du samedi soir. Il aurait mieux valu inverser les interventions puisqu'à mon sens, le samedi soir était le point culminant du salon.

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Quelle n'a pas été ma surprise de découvrir un autre homme sur scène. En effet la photo mise dans la brochure du salon laisse à penser à un individu dans la pleine fleur de l'äge. Or il s'agissait d'un soixantenaire. Cela dit cela n'a aucunement occulté ses qualités. Bien au contraire, est apparu une personne mature, bien dans ses bottes. Bref, il a assuré, entouré par l'équipe de Kévin Buckley.

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Je n'aurai pas de commentaire à vous donner étant donné : j'étais absorbé par le spectacle et que j'ai privilégié la prise de vues et de vidéos, avec mes faibles moyens techniques.

Je rends ici hommage à la contribution de Michel Dailloux qui a déjà publié, sur Facebook notamment, bon nombre de vidéos du festival. Les connaisseurs savent qu'il couvre aussi Evreux et Issoudun.


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Un moment mon oreille a réagi au son d'un harmonica. J'ai cherché du regard et ai trouvé notre homme. 

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Et puis, après le concert,j'ai pu interviewer James House, dehors, à la tombée de la nuit, dans la pénombre.DSC07629

Il s'est prêté au jeu.

J'ai failli louper l'interview. En effet, dans ce cas de figure, j'utilise mon appareil photo bridge pour filmer et le Zoom pour enregistrer. Quand j'ai voulu mettre en route ce dernier, les accus étaient à plat ; j'ai alors cherché à les changer, seulement je n'ai pas réussi à les insérer. J'ai alors cru que je n'avais pas pris celles qui lui convenait (cela aurait du être des piles "crayon" que je n'avais pas sur place). Ces jours-ci, j'ai découvert à la maison, en remisant le matériel, que j'avais cherché à introduire les accus en inversant les polarités, ce qui m'avait laissé à penser que je n'avais pas les bonnes.

Alors j'ai pris mon appareil photo de poche que j'ai utilisé comme micro enregistreur : cela se voit sur la vidéo. De nouveau une sueur froide quand j'ai cru avoir égaré cet interview réalisé sur le petit appareil en mode vidéo puisque cela ne délivrait pas d'image. Je l'ai retrouvé et ai donc pu combiner son et image.

Comme vous allez vous en rendre compte, à l'écran et au son, l'appareil photo enregistreur n'a pas été déclenché au début de l'interview mais en cours ; à partir de 00:53, l'écoute est bonne.

 

 

Bref, une rencontre remarquable.

Les musiciens se prêtent à la photo du groupe alors que les véhicules sont chargés pour repartir....

Un grand merci à eux !

 

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Amber Digby (autre article à l'occasion de Craponne)Audie Blaylock 

Bayou Roux - Bleu Edmondson - Bob Jones - Bruce Robison & Kelly Willis 

 Caitlin Nicol-Thomas -  Carl Clay Caulkins - Carrie Hassler

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1 novembre 2018

Green Escape 2018, nouvelle version du Craponne Country Rendez-Vous Festival

Cette année, donc, le festival renommé, a changé de nom. A-t-il perdu, pour autant, son âme ?

C'est ce que je vous propose de découvrir par ce retour que je vous livre aujourd'hui.

Après quelques mois de recul, mon idée est faite. Mais tout d'abord, à vous de vous faire un jugement, si tant est qu'il faille le faire.

En tout cas, le format du festival était le même, à savoir 3 jours consacrés à la musique country avec du In et du Off. Le Off s'est révélé moins nourri ; les explications surprises, par ci et par là, demandent à voir ce qui va se passer l'année prochaine.

vendredi

Trois groupes cette première soirée, donc.

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Tout d'abord, les Appaloosa.

Ils passent l'épreuve de la conférence de presse. 

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Et puis ce sont eux qui ouvrent le festival. Pas une mince affaire ! Seront-ils à la hauteur ?

Ils démarrent par "Country Man Attitude".DSC06797

Puis la pluie fait son apparition. Chacun se protège à sa manière.

 

Le groupe interprète des morceaux bluegrass, en version électrique. Ce que je trouve original. 

 

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Puis d'autres morceaux connus dans le milieu de la danse country.

 

 

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Sam Outlaw

Voici la première grosse pointure du festival et de la soirée.

Ecoutons-le dans un de ses "tubes" :

 

Je note une perfection musicale.

Le duo de voix avec la bassiste est remarquable. Ravissant.

 On découvre une musique tendre à écouter. C'est ce que l'interview laissait entrevoir.

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Un ravisement pour l'oreille, la guitare acoustique porte, au milieu des autres instruments électriques.

La pedal-steel guitar tient bien la place qui lui revient.

De la tendresse.

 

 

 

 

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La chanteuse bassiste nous gratifie d'une ballade.

 Puis, sur une reprise, dans une chanson de Noël qui traite de JC (Jésus-Christ), Sam Outlaw s'agenoue. Emouvant.

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Une dédicace de CD pour une amie et me voici sur la photo...DSCN0041

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The Nickel Slots

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Un début de concert énergique mais qui m'apparait bien neutre.

Au fur et à mesure les mélodies se font de plus en plus accrocheuses dans ce style rock, bien sûr !

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 Le lead guitarist se démène tout le temps. Le bassiste n'est pas le dernier non plus, et le batteur...

 

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Le public s'agite.

La mandoline intervient alors pour un morceau type chant de marin, sinon irlandais. Dommage qu'on n'en entende pas plus !

 

 

La fin en apothéose. Le public est conquis.

Pas besoin de le forcer pour le rappel.

La mandoline, revient à cette occasion, pas pour me déplaire.

Cette dernière chanson est dédiée à sa mère, destinée aux jeunes et aux politiciens, si j'ai bien compris.

Il descend alors de la scène et passe le micro à un festivalier qui connait les paroles de la chanson.

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Newtown

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Tommy Ash

 

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Étonnement, je n'ai pas pris de note lors du concert de Tommy. J'en conclue que j'y ai fait seulement un passage et que je devais sûrement rejoindre une conférence de presse, car elles peuvent avoir lieu durant la prestation d'un autre groupe.

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Mike and The Moonpies

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De la pêche.

Du Honky Tonk.

Un piano électrique  - que dis-je, 2 pianos, je vous rassure pour un seul joueur - présents mais discrets. Si, si, on l'entend !

Un peu de Merle Hagard : Working Man Blues. Au micro, Mikes est impassible comme si ce n'était pas lui qui chantait.

Bref, un bon moment !

 

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Southern Avenue

Pour ce qui est de la conférence de presse, une panne de courant a empêché de prendre l'enregistrement.

 

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L'interview a pourtant eu lieu avec, comme "bruit de fond", la prestation de Tommy Ash.

Quand le courant est revenu, l'interview était terminé.

 

Le concert commence bien. L'une des deux soeurs danse sur scène. L'autre tient la batterie. Ce n'est pas commun, non ?

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Du mouvement.. et du recueillement.

 

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Et les expressions du visage , le regard !

Le public ovationne.

La basse répond à la chanteuse.

Le sourire malicieux de la batteure.DSC06948

Qu'exprime-t-elle de si convainquant ?

Et cette gestuelle !

Le public est recueilli.

C'est un groupe très jeune d'âge.

A l'occasion d'un gospel, une exhortation à ce que vienne la paix.

Le jeu de main de la leader persuade.

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Gunwood

 

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Déroutant comme groupe.

Y aurait-il des influences irlandaises ?

L'ovation du public qui s'est réduit vue l'heure avancée de la nuit.

De nombreuses guitares utilisées. 

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Des sonorités inhabituelles, psychédéliques.

Et voilà que surgit l'harmonica. Pas pour me déplaire. Du blues !

Et puis cela déménage, les entendez-vous ?

Un synthé apparaît depuis le plateau de la batterie.

Maintenant un morceau tout acoustique. L'accus de mon appareil est déchargé. Vous n'entendrez pas ce morceau où la foule participe par des : "  Da ! Da ! Da ! Da ! Da ! Da ! Da ! Da !..."

Le dernier morceau est plus recueilli : voix, guitare acoustique, une pointe de synthé : "I Am Afraid Of The Dark".

Pas le dernier... : "Traveling Soul"

La fin de la fin.

Un morceau à capella grandiose. 

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dimanche1

dimanche2

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Looly and The Surfing Rogers

 

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Des hommes costumés tout en noir, dans un  décor tout noir.


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Heureusement, Looly contraste dans cette tenue sexy.

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Le style m'évoque le ska, avec ce saxo omniprésent.

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Le guitariste quitte la veste. Ca chauffe sur scène comme sur le terrain pour le public.

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Un ciel extra-bleu.

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Looly danse alors.Une flute, maintenant ! Bizarre ! Pas du meilleur effet, cependant.

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Les solos de saxo puis de guitare.

Ensuite des effets "spéciaux" au saxo et à la guitare.

 

 

 

 

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Blue Water Highway

 

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Bizarrement, aucune prise de notes pour cette formation. Pourtant j'étais bien au pied de la scène pour prendre photos et vidéos. Où avais-je la tête ?

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Status Quo

Du rock. En veux-tu ? En Voilà !

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Le public chante en choeur avec le groupe.

Un superbe jeu de scène des trois guitaristes, se déplaçant, se rassemblant.

Le public s'agite quand il n'applaudit pas.

Au rappel, il saute à pied joint. Sur un air celtique.

A l'occasion de "Johnny Be Good", le public est associé et la guitare répond.

 

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Quand nous étions en backstage, nous n'avions pas la possibilité de rencontrer les membres de Status Quo. Il étaient "cantonnés" dans leur deux bus.

Et puis, voilà qu'à la fin du concert, on les découvre mêlés au public. Etrange !

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Gaelle Buswel

 

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Ça démarre fort

Elle en appelle au public.

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Un peu d'acoustique.

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Et puis la soirée se termine par un boeuf rassemblant quelques uns des artistes de la soirée.

Un grand moment !

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Et puis je ne terminerai pas ce retour du festival sans vous montrer cette vidéo qui illustre les moments furtifs que ce type de festival occassionne. Lilly West joue avec des festivaliers dans la pinède, en toute intimité.

 

 

C'est cela aussi Craponne !

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POST-FACE

Ce blog traite des musiques américaines.

Au départ (ici), il relate un voyage familial aux USA, en 2007, en Wyoming, Colorado et South Dakota. Si vous voulez démarrer le voyage, ici.

La liste des interviews traduites est accessible ici, parce que, tout le long de ce périple de trois semaines, nous avons réalisé des interviews  d'américains rencontrés sur le chemin.

Depuis, voici les artistes américains renommés interviewés en France et plus précisément en région rennaise. Ils sont classés par ordre alphabétique du prénom :

Amber Digby (autre article à l'occasion de Craponne), Audie Blaylock

Bayou RouxBleu Edmondson - Bob Jones - Bruce Robison & Kelly Willis 

 Caitlin Nicol-ThomasCarl Clay CaulkinsCarrie Hassler

  Dan AlbroDavid EvansDenise Marie

Emmylou Harris

 Franck Solivan

Gary P Nunn

Jake Penrod - JB & The Moonshine Band - Jeason Meadow - Jeff Scroggings & Colorado - Joan Kennedy - Joanna Smith - John David Kent - Justin Trevino

Kellie Rucker 

 Liane Edwards

M. Callaghan - M. SoulMark ChesnuttMickael Jerome Browne - Mike Blakely - Mike Greene - Moot Davis

 Niamh Lynn

 Pine Leaf Boys 

 Randy Thompson -  Rob Ryan Roadshow - Ronnie BowmanRick Trevino

Sally et Chris JonesSamm RiggsSarah SavoyStephanie Urbina Jones   

 The Mavericks - The Savoy Family Cajun BandTony LewisTrent Willmon 

 Washboard Union - WC Edgar - Will BanisterWhiskey & Women   

 Zane Williams  

Lesquels connaissez-vous pour les avoir entendus, écoutés, rencontrés ?

On en reparle ?

 

---

Ce blog a été

imaginé,

conçu

par ma fille Hélène,

tant pour son architecture

que pour le concept des trois questions

qui cloturent chaque interview.

Qu'elle en soit remerciée !

 

 

 

7 août 2018

Les Ramblin' Pickers, un groupe charmant à découvrir

 

2018070317204931379[Ce bandeau manifeste le fait que cet article devrait paraître sur le blog sus-mentionné dont je n'ai pu accès depuis le changement d'adresse électronique et d'ordinateur]

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Décidemment, la musique des Appalaches -pour faire un raccourci- a le vent en poupe. Après les Rattlesnake Joe découverts au Farm & Village festival, la Sugar Family écoutée à Bazouges la Pérouse, ou les Jolies Letters découverts au hasard de la lecture du journal, voici les Ramblin' Pickers qui nous viennent du centre de la France.

A Betton, en bordure de Rennes, j'ai rencontré ce groupe pour le moins intéressant. J'ai été marqué par leur érudition. Vous allez vous en avoir un aperçu en écoutant l'interview qu'ils m'ont accordé.

Lisez la description qui est faite d'eux sur le site de "la même prod".

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 Avant chaque morceau, l'un des deux compères, Cédric Psaïla ou Anthony Derycke, expliquent le thème de la chanson et ne manquent pas de recourir à l'humour. On est mis dans l'ambiance, on comprend de quoi ça parle.

 

 

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Donnons-leur la parole. J'espère que, comme moi, vous allez apprécier leur érudition. On en apprend beaucoup sur la musique des Appalaches qu'ils revendiquent comme universelle. Je ne me suis pas lassé de les écouter. Au contraire, j'aurai bien aimer prolonger ce riche échange ; l'interview ne pouvait pas s'éterniser et eux, devaient reprendre la route. (Petit détail technique : je n'ai pas déclenché l'enregistrement de l'image. C'est la raison pour laquelle la vidéo commence avec le titre en fixe. Patience : l'image vient plus loin !)

 

 La photo suivante résume les attitudes respectives de nos deux musiciens sur scène : l'un, nonchalant, quelque peu distant et l'autre plus actif, toujours en mouvement.

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POST-FACE

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Au départ (ici), il relate un voyage familial aux USA, en 2007, en Wyoming, Colorado et South Dakota. Si vous voulez démarrer le voyage, ici.

La liste des interviews traduites est accessible ici, parce que, tout le long de ce périple de trois semaines, nous avons réalisé des interviews  d'américains rencontrés sur le chemin.

Depuis, voici les artistes américains renommés interviewés en France et plus précisément en région rennaise. Ils sont classés par ordre alphabétique du prénom :

Amber Digby (autre article à l'occasion de Craponne), Audie Blaylock

Bayou Roux -

Bleu Edmondson - Bob Jones - Bruce Robison & Kelly Willis 

Caitlin Nicol-ThomasCarl Clay Caulkins -

Carrie Hassler

 Dan Albro David Evans -

Denise Marie

Emmylou Harris

 Franck Solivan

Gary P Nunn

Jake Penrod - JB & The Moonshine Band - Jeason Meadow - Jeff Scroggings & Colorado - Joan Kennedy - Joanna Smith - John David Kent - Justin Trevino

Kellie Rucker 

 

Liane Edwards

M. Callaghan - M. Soul -

Mark Chesnutt -

Mickael Jerome Browne - Mike Blakely - Mike Greene - Moot Davis

Niamh Lynn

Pine Leaf Boys 

Randy Thompson -

 Rob Ryan Roadshow - Ronnie Bowman

Rick Trevino

Sally et Chris Jones -

 

Samm Riggs -

Sarah Savoy -

Stephanie Urbina Jones  

The Mavericks - The Savoy Family Cajun Band -

Tony Lewis -

Trent Willmon 

Washboard Union - WC Edgar - Will Banister -

Whiskey & Women   

 

Zane Williams  

Lesquels connaissez-vous pour les avoir entendus, écoutés, rencontrés ?

On en reparle ?

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imaginé,

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par ma fille Hélène,

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qui cloturent chaque interview.

Qu'elle en soit remerciée !

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11 juillet 2018

Un lieu insolite, un artiste engagé : le Ty Blues Garage et le projet American Tales

2018070317204931379[Ce bandeau manifeste le fait que cet article devrait paraitre sur le blog sus-mentionné dont je n'ai pu accès depuis le changement d'adresse électronique et d'ordinateur]

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Par hasard, des amis publiaient une information sur facebook. Ils m'ont permis de découvrir ce lieu à Mur-De-Bretagne et le groupe American Tales (sur facebook) autour de Enrico Moretti-Lipparini dit Little Henry, Julien Chevreteau et Martin Bigot.

Quand je suis arrivé dans la rue, j'ai cherché du regard et voici ce que j'ai vu :

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Et je suis entré dans les entrailles de ce café associatif.

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Sur la gauche, on découvre un petit salon pour s'isoler ou tout simplement se retrouver en petit comité :

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 Un déco qui attire le regard. Il y a partout à voir.

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Au fond de la salle propement dite se déploie le bar.

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 Voici Nadia, la gérante, qui officie au bar. Grand merci pour l'accueil et l'ambiance !

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Tiens, un instrument connu !

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Et puis cette figurine qui annonce la couleur de ce bar. On y vient pour écouter de la musique.

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 Ambiance très West !

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Des éléments de déco que j'aurai du prendre au flash...

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10ter

Cette fresque illustre l'ambiance de ce bar.

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Au départ, le concert devait avoir lieu en extérieur dans le jardin attenant. Seulement les organisateurs ont préféré se rabattre dans la salle étant donné qu'un orage était annoncé sur le secteur, suite à la canicule. En réalité quelques gouttes se sont manifestées sur le site en fin de la soirée.

Ainsi le concert en a été que plus intimiste, dans ce cadre bien typé, mais -oh combien- charmant.

Seule ombre au tableau, la luminosité faible. J'ai été piégé. En effet, les vidéos prises, confortablement assis sur une chaise haute à distance de la scène, se sont révélées trop sombres. Je ne vous livre donc que du son à défaut de mouvement.

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Quatre personnes se reconnaitront, n'est-ce pas ?

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Le flash apporte de la luminosité qui dévoile les visages.

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Ici sans flash, juste pour montrer l'expression des visages.

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Avant le concert, j'ai eu la possibilité d'interviewer ; j'ai eu tout mon temps.

Voici les propos de Little Henri sur la musique que vous avez pu découvrir sur cette page.

 

Gageons que quand vous le rencontrerez, vous serez tenté par l'échange et la musique déployée.

 

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Et puis j'espère aussi que le lieu qui a accueilli cette découverte, le Ty Blues Garage, ne vous laissera pas insensible. Un ambiance s'y manifeste, une bonne humeur se dégage. Merci aux animateurs de ce lieu pour leur courage, audace, et sincérité ! A une prochaine occasion !

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Depuis, voici les artistes américains renommés interviewés en France et plus précisement en région rennaise. Ils sont classés par ordre alphabétique du prénom :

Amber Digby (autre article à l'occasion de Craponne), Audie Blaylock

Bayou Roux -

Bleu Edmondson - Bob Jones - Bruce Robison & Kelly Willis 

Caitlin Nicol-ThomasCarl Clay Caulkins -

Carrie Hassler

 Dan Albro David Evans -

Denise Marie

Emmylou Harris

 Franck Solivan

Gary P Nunn

Jake Penrod - JB & The Moonshine Band - Jeason Meadow - Jeff Scroggings & Colorado - Joan Kennedy - Joanna Smith - John David Kent - Justin Trevino

Kellie Rucker 

 

Liane Edwards

M. Callaghan - M. Soul -

Mark Chesnutt -

Mickael Jerome Browne - Mike Blakely - Mike Greene - Moot Davis

Niamh Lynn

Pine Leaf Boys 

Randy Thompson -

 Rob Ryan Roadshow - Ronnie Bowman

Rick Trevino

Sally et Chris Jones -

Samm Riggs -

Sarah Savoy -

Stephanie Urbina Jones  

The Mavericks - The Savoy Family Cajun Band -

Tony Lewis -

Trent Willmon 

Washboard Union - WC Edgar - Will Banister -

Whiskey & Women   

Zane Williams  

Lesquels connaissez-vous pour les avoir entendus, écoutés, rencontrés ?

On en reparle ?

3 juillet 2018

Musiques Nord-Américaines à partir d'ici

 [Voici une captation de ce blog auquel je n'ai plus accès du fait de changements d'ordinateur et de fournisseur d'accès]

[Ainsi, à chaque fois que je relaterai la rencontre avec des artistes non-américains, ce bandeau apparaitra, en début et fin d'article


Craponne 2013 : Lilly West, Mr Jay [bonus : Craponne 2014, le programme complet]

6 juillet 2014

Craponne 2013 : pour les artistes américains, je vous renvoie à la page correspondant sur notre blog PointsOf yoU(SA).

Cette année, en Off, nous avons découvert Lilly West que nous connaissions déjà à partir d’un CD que nous avions reçu suite à un « concours » en écoutant radio Craponne ou une autre radio dédiée à la musique country.

Quand à Mr Jay, nous avions eu l’occasion de l’écouter en Alsace accompagnant Big Rock ou anciennement dans la formation des Hat Tricks.

 

LillyWest2

C’est donc le vendredi après-midi sous un soleil généreux que nous avons écouté la prestation de Lilly West sur une des scènes du village.

LillyWest

Voici deux vidéos de cet après-midi :

 

 




 

Les circonstances ne m’ont pas permis d’interviewé Lilly. Ce n’est que partie remise !

J’ai remarqué la signalétique :

LillyWest3

 Et puis ceci :
LillyWest4

 

Revenons sur scène :
LillyWest5
LillyWest6

Le fiddle a permis d’apporter la touche acoustique à l’ensemble mettant en valeur les morceaux interprétés.

LillyWest7

 

 

LillyWest8..
LillyWest10

 

Trois musiciens accompagnent Lilly West.

 Mon attention s’est porté sur sa guitare…

Le détail de la guitare :LillyWest9

LillyWest11

Par ailleurs, des danseurs n’ont pas manqué d’apporter leur touche participative.

Mister Jay, quant à lui, jouait sur la grande scène du festival. Un privilège pour quelques groupes ou artistes français ou européens. Privilège mais aussi et surtout tremplin pour leur carrière.

Voici Mr Jay lors de la conférence de presse. Je n’ai pas pu obtenir un bon enregistrement de cet exercice de communication.

MrJay

Lors de la prestation sur scène , nous avons pu remarquer la présence de Lionel Wendling avec sa casquette rouge, la référence européenne en matière de pedal-steel-guitar..

Lors de ce show, j’ai apprécié la présence du dobro qui est plutôt symptomatique de la musique old-time ou bluegrass. Pedal-steel-guitar et dobro ont apporté leur touche de complémentarité.

MrJay2 MrJay3 MrJay4 MrJay5

[Je suis en attente d’autorisation de vous livrer quelques vidéos de ce show. Patience !]

Je ne suis pas en mesure de vous donner retour des autres groupes ou artistes européens qui se sont donnés en Off ou au festival même.

Je dois vous dire que je n’ai pas eu la possibilité, soit de les écouter, soit de les interviewer.

Faire partie du groupe presse, nécessite d’assister aux conférences de presse dans des plages horaires durant lesquelles le spectacle a lieu sur scène ou en ville. On ne peut pas être partout…

Voici le programme du prochain festival de Craponne à partir des éléments qui nous ont été remis par son service presse .

Cliquant :

– sur la photo, écoutez un morceau du groupe (sur un autre onglet)

– sur le nom du groupe pour accéder à la biographie.

Bonne consultation et bonne écoute !!!

Vendredi 25 juillet

0 - 1 - THE ROVING SEATS

The Roving Seats (F). Manuel Julvez, Ange Amadei et Jean-Michel Peyrot ont unis leurs talents, conférant aux Roving Seats un son clairement identifiable entre Country Music, Folk et Americana.

0 -2 - THE BARNSTOMPERSThe Barnstompers (NL). Venus des Pays Bas, les Barnstompers jouent une musique authentique qui prend ses racines dans le Country Boogy, le Western Swing, le Honky Tonk et le Rockabilly des années 40 et 50.

Jason Lee McKinney Band (USA).1 - JASON LEE MCKINNEYPour la 1re fois en France, Jason Lee McKinney Band produisent un Country Rock très accrocheur, de belles mélodies et un son très moderne. Ils seront sur la scène du Country Rendez-Vous en exclusivité française.

Blue Highway (USA)2 - BLUEHighway

Voilà un groupe d’exception : c’est une formation rare de par ses qualités vocales et instrumentales offrant un des meilleurs cocktails du Bluegrass actuel. Alliant tradition et modernité des arrangements, Blue Highway est composé de virtuoses, dont le génial Rob Ickes au dobro qui a remporté en 2013 un nouvel IBMA Award (son quinzième !) et qui promet une performance que le public de Craponne ne sera pas près d’oublier. Pour leur vingtième anniversaire, leur onzième album, « The Game », est sorti le 21 janvier chez Rounder.

Skinny Molly (USA).3 - SKINNEY MOLLYAttention événement ! Un ex-membre de Lynyrd Skynyrd, Mike Estes, a joué trois ans avec Gary Rossington et Johnny Van Zant, et a formé Skinny Molly en 2004. Le son et l’énergie du Southern Rock du sud des Etats-Unis à Craponne en clôture ce cette première journée !

 

Samedi 26 juillet

Cattle Call (F).4 - 1 -CATTLE CALL Cattle Call s’identifie aux string-bands qu’on trouvait dans les Appalaches au début du siècle dernier. Ils reprennent avec énergie et talent des standards de la musique traditionnelle américaine des 20’s aux 50’s.

Whiskey Sisters (USA).4 - 2 - WHISKEY SISTERSSix sur scène, dont les harmonies vocales de Teal Collins et Barbara Nesbitt, pour un son Rock, Blues et Country: les texanes Whiskey Sisters, en exclusivité à Craponne, vont enflammer le Festival !

Jerry Kilgore (USA).Un des meilleurs représentants américains du style Honky Tonk 5 - JERRY KILGOREavec des shows toujours très dynamiques. Jerry Kilgore a choisi Craponne en exclusivité pour son premier concert en France !

William Clark Green (USA)6 - WILLIAM CLARK GREEN

Il vient d’être numéro 1 au Texas Music Chart et au TexasRegional Radio Report avec le titre « She likes the Beatles ». Ce single est aussi numéro 1 du Top 10 Best Texas Country Songs of 2013 publié par le Dallas Observer. Parolier de talent, son style associe Country et Red Dirt. Cette progression rapide a conduit William Clark Green à signer avec l’une des agences les plus réputées, Paradigm Nashville, et il sera en exclusivité samedi soir au Country Rendez-Vous.

7 - HOGG MAULIES

Hogg Maulies (USA). De Lubbock, Texas, ce quatuor distille le meilleur de la Country Rock avec un mélange unique de son et de style, dans la lignée des groupes texans qui ont ravi le public de Craponne où Hogg Maulies se produira en exclusivité.

Dimanche 27 juillet

Acoustic Five (F).8 - ACOUSTIC FIVEIls se définissent comme « 100% Folk Americana » et reprennent Johnny Cash, Janis Joplin, Neil Young, et Tom Petty ainsi qu’une superbe version du Staying alive des Bee Gees !

Red Wine (I). Un des tout premiers groupes de musique Bluegrass européen toujours en activité, Red Wine propose un Bluegrass généreux entre tradition et modernisme.9 - REDWINE

 

 

Texas Martha & The House of Twang (USA).10 - TEXAS MARTHAMartha Fields , cousine de la légende Loretta Lynn, chanteuse et compositrice écume les scènes accompagnée de son groupe pour produire un show irrésistible avec un mélange Honky Tonk, Country Rock et Rockabilly.

Darryl Worley (USA)11 - DARRYL WORLEY

Un diplôme en biologie, des concerts dans des clubs, un temps professeur, et Darryl Worley obtient un contrat d’édition avec Fame, l’un des studios mythiques de Muscle Shoals. George Jones reprend ses textes, et Hank Williams, Willie Nelson et Randy Travis l’inspirent. Il alterne Country Rock, Honky Tonk, Western Swing et Blues, avec un fort charisme scénique. En 1999, il rejoint la dream team Dreamworks Nashville, co-fondée par Steven Spielberg. Vient alors une série de hits dont « Awful beautiful life », « Tennessee river run », « Have you forgotten » et « A good day to run », ainsi que « Sounds like life to me » chez Stradavarious Rcds, et des millions d’albums vendus, dont « I miss my friend »,n°1 dès sa sortie, ainsi que trois hits n°1 au Billboard Country chart. Darryl Worley a choisi le Festival Country Rendez-Vous en exclusivité pour son premier concert en France : don’t miss it !

Sarah Savoy’s Hell-Raising Hayride12 - SARAH SAVOY (USA/F ). Fille de Marc, meilleur accordéoniste de Louisiane, Sarah Savoy injecte à la musique Cajun traditionnelle une bonne dose de Western Swing et le rythme irrésistible du Rockabilly : chaleureux et joyeux, à l’image du peuple Cajun, pour finir en beauté le 27e Festival.

Alors on se retrouve bien à Craponne en juillet prochain, n’est-ce pas ?

[Déjà sur ce blog, les artistes, groupes ou acteurs de la scène country :

Erik Sitbon & The Ghost Band, Anne Guegan, Daumy de Fotozik, Laurette Canyon, Hillbilly Rockers, Rag Mama Rag, Howlin’Fox, Christelle des Texas SidestepKick’n ClapMade In USAPierre LorryOld West & CoRusty LegsOrville BrodyHat TrickWinks Sophie Binant Honky Tonk FarmersHughes AufrayStrapsChevy Redd SunsetTexas SidestepMichel HautboisDominique Le Maréchal – Annabel – General StoreBig RockRockincher

A suivre, l’interview des :

Billy Curtis – One Way – Honkytonk Hicks – Sébastien Charlier – Dave Sheriff – The Partners -…]

[[ Et puis pour découvrir des personnalités américaines de la musique (notamment country) mais aussi de la société civile, je vous invite à consulter notre blog : Points of yoUSA .]]

 

Erik Sitbon & The Ghost Band, au sud de Saint Brieuc, en Côtes d’Armor, octobre 2013

13 mars 2014

Erik Sitbon Erik Sitbon2Nous avions découvert Erik Sitbon et son groupe au festival country de Craponne en juillet 2012.

DSC07310eric sitbom

 

DSC07315Nous l’avions écouté en off, c’est-à-dire hors du festival, sur une des scènes du village. Je l’avais remarqué à son chapeau type haut-de-forme Steampunk. Toutefois je n’avais pas été marqué par leur prestation. Peut-être cela tenait-il au lieu-même où ils se donnaient, au répertoire joué ce jour-là ou à mon état d’esprit du moment. Bref, il me laissait indifférent.

Claire Lise, quant à elle, était très emballée. Nous avons acheté le CD. DSC07323

Elle l’a fait alors dédicacer par l’ensemble des membres.DSC07324DSC07321sitbon

 

Sur le trajet du retour, l’écoute des morceaux a été un régal.

Depuis il n’a pas quitté le lot des CD tournant en boucle dans le lecteur de notre voiture.

Lorsque nous avons appris qu’Erik et son groupe se déplaçaient en Bretagne, nous avons retenu la date sur notre agenda : le 5 octobre dernier. Aussi le bal annuel des Color Hats à Plaintel a-t’il été l’occasion d’approcher au plus près ce groupe.

DSC00662

Cerise sur le gâteau, l’occasion d’interviewer Erik ! Il nous a offert cette occasion à la fin du spectacle, donc tard dans la nuit, à l’abri du bruit et du bal, dans les cuisines. Ce soir-là, un couac a failli faire « foirer » le projet. Le dictaphone n’était pas en mesure de fonctionner : probablement parce qu’il était surchargé avec les interviews pris cet été à Craponne. J’avais essayé d’y remédier, en vain….

Heureusement ce soir-là, j’ai pu bénéficier de l’aide de Dom Spid, l’ex-animateur de l’émission country sur Fréquence Mutine, qui assure maintenant l’émission « Country Jamboree » sur LTU-radio, le lundi soir de 20h à 22h . Il a mis à ma disposition son enregistreur audio qui a donné entière satisfaction.

Vous allez pouvoir en juger par vous-même.

Tout d’abord, voici quelques vidéos prises le soir même :

 

Écoutons maintenant Erik …DSC00634

Eric se présente et son groupe. Joue de l’americana, mélange de folk, rock et country. Qu’est-ce qui fait que vous êtes arrivé à pratiquer cette musique ?

Une question de goût. Une rencontre particulière avec cette musique ?

Enfance en Suède, donc culture très anglo-saxonne, très rock, très folk et très country. Fan d’Elvis Presley , de Johnny Cash, de Roy Orbison. Comment devenu musicien ? A commencé à l’âge de 15 ans après avoir vu quelqu’un jouer de la guitare . Était-ce en concurrence avec des études, avec un avenir ? Luthier pendant dix ans avant d’être musicien professionnel. Il a fallu choisir.

Ce passé vous influence-t’il ? Pas du tout : abstraction de sa carrière de luthier. Rencontre avec Manu Bertrand. Comment on passe de la phase d’être jeune et musicien à celui d’être le leader d’un groupe ? L’avantage du statut français d’intermittent du spectacle. Tous professionnels.

Raison du nom du groupe. Références communes au 1er album, au 1er DVD. Simplement pour le nom ? Fasciné par l’ouest américain, par les ghost towns. Projet de les visiter pour y tourner un clip.

Quel effet de Craponne ? La chance d’avoir fait le off et le in. Pour vous ? Quel retour vous en avez? Quel accueil avez-vous dans le milieu country ? L’avantage de pratiquer l’americana

Suffisamment de travail maintenant ? En France, beaucoup de folklore autour de la country. « On défend une musique personnelle ».

Quels sont les projets ? Le futur double-album masterisé à New York. L’invitation des artistes américains rencontrés à Craponne. Pourriez-vous être amenés à chanter en Français ? Cette musique-là ne sonnera pas bien en français. Cabrel le fait très bien.

Un mot ? Espace. Un objet ? Un squelette de longhorn (longue corne). Cela évoque l’Ouest américain. Fan absolu de « La Petite Maison Dans La Prairie ». Un bruit ? Les sirènes de police aux USA.

Les voici encore à l’œuvre :

 



Erik et son groupe sont attendus à la toute prochaine édition de la MayFest de Pontivy en mai prochain.

Gageons qu’ils sauront enthousiasmer les festivaliers.

Rendez-vous est pris !!!MayFest_0001

mayfest2014bis

[Déjà sur ce blog, les artistes, groupes ou acteurs de la scène country :

Anne Guegan, Daumy de Fotozik, Laurette Canyon, Hillbilly Rockers, Rag Mama Rag, Howlin’Fox, Christelle des Texas SidestepKick’n ClapMade In USAPierre LorryOld West & CoRusty LegsOrville BrodyHat TrickWinks Sophie Binant Honky Tonk FarmersHughes AufrayStrapsChevy Redd SunsetTexas SidestepMichel HautboisDominique Le Maréchal – Annabel – General StoreBig RockRockincher

A suivre, l’interview des :

Billy Curtis – One Way – Honkytonk Hicks – Sébastien Charlier – Dave Sheriff – The Partners -…]

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Rencontres au festival d’Evreux en novembre 2012 : Anne Guegan et Daumy de Fotozic

23 juillet 2013

Des acteurs de la country.

Aujourd’hui, je vous invite à rencontrer deux personnes qui vous avez probablement remarquées lors d’un de ces « grands » festivals.
DSC08180L’une assise à un stand, la mari battant l’espace avec son appareil photo ; le second, lui aussi armé, mais cette fois, d’une batterie d’appareils photo.DSC08157

Grâce à eux, nous disposons d’une couverture meilleure de cette pratique qu’est la « country music ».

Grâce leur en soit rendue !

En effet, l’ouvrage de Anne Guegan, « L’esprit des danses country et western » apporte un éclairage unique, précieux, et indispensable sur la danse country.

Daumy, quant à lui, apporte plus qu’une touche de mouvement, une sensation de présence, d’intimité.

Écoutons-les nous partager un brin de leur passion.

Anne Guegan

Lors des WestRennes Country Days 2012, j’avais réalisé son interview alors qu’elle animait une conférence. DSConfDSConf9Malheureusement l’enregistrement a fait défaut. Aujourd’hui j’emprunte donc des photos prises à cette occasion.

DSintev– Comment est venue l’idée de cet ouvrage ? Danseuse. Pas d’ouvrage sur la question. Décidé de retourner aux sources. Consulter la bibliothèque du Congrès et la bibliothèque canadienne.

– Pourquoi un tel livre ? Besoin de rétablir une vérité historique et universitaire, de calmer les conflits et donner des bases sérieuses.

– Objectif atteint ? Oui. Tout le monde est content. Terrain débroussaillé. illustration par des documents qui auraient disparu.

DScowboy– A quand remonte la country ? A l’arrivée des colons. Mélange de styles, avec le peu d’instruments. « c’est la musique du pauvre, la country.» Populaire :elle faisait danser.

– Le livre traite surtout de la danse country ? Au milieu du livre une petite histoire de la musique country.

– Deux périodes de la danse country ? Line-dance arrivée très très tardivement puisqu’elle a explosée en 1992. Pour gagner de la place, on se mettait en ligne. Les gens apprenaient les chorégraphies devant leurs écrans. Auparavant, chez les pionniers des danses de couple, des rondes ou en carré : des « square » . Le Two-Step reste la danse des USA.

DStravolta– John Travolta l’initiateur ? Travolta l’a fait connaître grâce au film Urban Cowboy où l’on y découvre aussi le Two-Step, le Clogging et d’autres danses

– La danse country aujourd’hui ? De plus en plus de Two-Step, de danses en couple,.Les gens ont envie d’inventer, d’être créatifs. Aussi beaucoup de square-dances . Tout cela va monter en puissance. 800 clubs de square-dance en Allemagne contre une quinzaine en France.

– Comment expliquer que la danse country prenne pied en France ? Elle correspond à un besoin de convivialité, depuis qu’il y a de moins en moins de bals populaires. Parfois trois générations de danseurs qui s’amusent.

– Aux USA, les jeunes dansent en ligne au centre, les autres en couple à l’extérieur ? En France pas du tout.

– La square-dance est encore marginale ? Elle arrive dans les clubs de line-dance. DSC06823

Quelle est son originalité ? Avec on peut voyager partout dans le monde : même terminologie

– N’y- a t’il pas moins de danses et de figures à apprendre ? Sa spécificité : on apprend des « calls » et on est armé pour le bal.

– Le « caller  » ? Son but est de surprendre les danseurs, leur annoncer les figures les une après les autres et de remettre la partenaire avec son partenaire de base à la fin de la danse

– Parallèles avec les danses irlandaises ?

– La diffusion de l’ouvrage : réservé aux spécialistes ou abordable par le public ? Abordable puisqu’écrit comme une histoire, comme un roman. DSC06747

– La bible de la danse country en France ?

– Son accueil aux USA ? Projet d’une traduction pour les USA.

– Son équivalent en Europe ou aux USA ?

Des ajouts puis des petits ouvrages pour compléter parce que on ne peut pas dépasser son format.

– Qu’est-ce que cela vous a apporté ? A avoir une oreille plus affûtée, à plus écouter la musique donc à plus danser. Découverte de nouvelles sortes de danses et envie de les pratiquer.

– Les dédicaces même vécu que pour vos romans ? Danseurs vraiment ravis puisqu’il n’y avait pas de livres sur le sujet.

– La polémique danse country / danse en ligne ? Pas de polémique puisque c’est fonction de la musique-même.

– L’avenir de la danse country en France : effet de mode ? Au bout de 20 ans, on ne peut plus parler d’effet de mode. Elle ne peut évoluer que vers de plus en plus de couples.

– Appartenant au paysage français ou toujours quelque chose d’importé ? 60 000 danseurs estimés.

– Accueil de la presse spécialisée ? Unanime. Plus de trois ans d’écriture et de recherche ;. pas le droit à l’erreur : tout a été vérifié par des spécialistes aux USA .

– Autre projet en rapport avec la musique country ? Une histoire du blues français ; un guide de la musique country aussi avec deux autres auteurs en recherche depuis 3 ans : 1800 associations répertoriées.

– Un ou plusieurs romans en chantier ? Des livres audio.

– Vous arrivez à en vivre de tout cela ou une profession à coté ? Impossible.

– Un investissement financier ?

– Un mot ? Immensité.

– Un objet ? Une flûte ou plutôt le goulot de bouteille et les manilles pour relier les wagons de train dont on se servait comme triangle.

– Un bruit, un son ? Le bruit de l’aile des rapaces.

Daumy de Fotozik

DSC08118– Dominique André dit Daumy de Fotozic

– Comment s’opère cette activité ? Photographe professionnel. 35 ans de photo industrielle et commerciale. Grande passion : la musique country d’abord en local dans le nord de la France. Photos mises sur internet puis site créé. Reconnu dans le monde de la musique et au niveau international parce qu’il couvre tout l’Europe. Photographe officiel au festival de Den Bosch, le plus grand d’Europe.

– A titre professionnel ou de hobby ? Seulement par passion. Il donne les photos aux artistes. Il produit des petites brochures qu’il leur offre, ce qui permet d’entrer en contact avec eux. Pour une démarche commerciale vers d’autres supports ensuite.

– Sur la route tous les weekends ? Beaucoup ; surtout quand il y a des vedettes venant des USA.

DSC08125– Pourquoi la country ? Musicien : guitariste. Dans le passé, rock&roll, Status Quo… A monté ensuite son entreprise rock&roll devenant du rockabilly ; difficulté de se remettre là-dedans. Puis a assisté il y a une quinzaine d’année à Gravelines à un festival ; il a accroché.

DSC08121– Peut-on établir un lien entre la country et les USA ? « C’est l’image que je m’en fais. »

– Est-ce qu’il y a un lien avec l’enfance, la jeunesse ? Oui, tout à fait ! C’est la musique dans les radios américaines.

DSC08099– Comment il perçoit la country qui est en pleine évolution ? Il y a quelques années, il y a 5 ou 6 ans, président d’une association de danseurs country. A arrêté puisque c’est devenu de la line-dance. On a besoin des danseurs pour faire venir des artistes américains.

– Quel est le petit « plus » de rencontrer les artistes américains ? Une fierté. « Une certaine reconnaissance de mon travail. »

– Combien de photos prises pour une sur un album ? Un reportage, soit 600 photos pour en conserver un dixième.

– Tri, sur place ou au retour ? En retard, une quarantaine de concerts

DSC08120– Un appareil et combien d’objectifs ? Trois objectifs : un grand angle, un petit et un grand télé.

– Objectif choisi avant ou sur le champs ? Dans le mouvement.

– D’autres personnes qui font cela sur les festivals ? Pour Craponne, une petite association à trois photographes : Manu de Pixels Country et Roger de Country Gone, avec leur page facebook commune, Music Life Pics. Eux de la région de Lyon, lui du Nord.

– Un mot : immensité – Un objet ? Le drapeau des USA. Le patriotisme. – Un son, un bruit ? La sirène des trains.

Et puis au plaisir de les retrouver à pied d’œuvre lors de prochains festivals.

Longue route à eux deux, que dis-je à eux trois (pour ne pas oublier le mari de Anne) !DSmari

Craponne 2012 : les Howlin’Fox, Laurette Canyon, Erik Sitbon et les Hillbilly Rockers

21 juillet 2013

craponneCraponne cru 2012

Sur mon site principal, Points of yoU(SA), j’ai relaté la rencontre des artistes et groupes américains.
Je donne maintenant la parole à ces countrymen et women français pour l’occasion.
Comme dit sur l’autre site, je n’ai pas pu réaliser des interviews à ma mode puisque j’ai dû m’en tenir aux conférences officielles.

Par ailleurs, j’ai pu capter les interviews de Laurette et des Hillbilly Rockers.

Les Howlin’Fox, je les avais déjà rencontrés en Bretagne, Je n’ai pas fait l’effort de les approcher. Ils s’expriment donc sur une précédente page

Quant à Erik Sitbon, c’est la découverte du « Off ».

Les Howlin’Fox

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Les Howlin’Fox, je les avais déjà rencontrés en Bretagne. Je n’ai pas fait l’effort de les approcher.

J’ai pourtant assisté à leur conférence de presse comme en témoigne la photo du dessus.

DSC07338J’ai aussi écouté leur prestation.

Ils s’expriment donc sur une précédente page

 

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Laurette Canyon

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Cette année, ce groupe a eu l’opportunité de se donner en « Off » dans le centre-ville de Craponne mais surtout sur la grande scène du festival puisque Justin Haighavait fait défaut.

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C’est une grande chance pour eux.

Cela va sûrement leur donner une reconnaissance et donc leur ouvrir une certaine notoriété.

Pour ma part, j’y ai remarqué Bill l’ex-lead-guitar des Honky Tonk Farmers.

Une formation dynamique.

Je reviendrais à ce groupe puisque, au festival country de Bain de Bretagne 2012, j’ai eu l’occasion de les retrouver. A suivre …

En attendant écoutons Laurette lors de la conférence de presse :

Tous issus de la même école de musique de Nancy.

Fan de Johnny Cash : la référence.

Jouent plutôt ailleurs qu’en Lorraine.

Composer ? Faire connaître le groupe par de la reprise pour s’intégrer dans le milieu.

Projet 2013 : amener de la « compo »..

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les Hillbilly Rockers

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Astrid la chanteuse, présente le groupe avec des musiciens éclectiques : elle-même venant d’un groupe de salsa (ses racines latines).

Le groupe et la line-dance : l’apport de la femme du batteur, animatrice de danses country.

L’effet Craponne.

L’évolution de la country avec ou sans la line-dance : ces nouvelles vedettes, comme Taylor Swift, diffusées sur les grands médias généralistes.

La composition.

Erik Sitbon

DSC07314

Nous n’avons pas pu écouter et voir ce groupe sur la scène du festival, le vendredi soir, puisque nous n’étions pas encore arrivés. De même l’occasion de les interviewer ne s’est pas concrétisée. A une prochaine occasion.

Heureusement nous les avons retrouvés dans le bourg de Craponne en « Off ».

Leur musique couvre différents styles.

Une originalité qui sera peut-être les prémisses d’une reconnaissance…

Rag Mama Rag, qu’est-ce que cela évoque pour vous ?

1 septembre 2012

Rag Mama Rag : un duo à découvrir.
J’ai fait sa connaissance l’année dernière lors du Fort West Festival 2011.

Certain(e)s d’entre vous l’ont rencontré plus récemment en Loire Atlantique à l’occasion du Festival Country Western 2012 à Saint Viaud… Si vous faites partie de ceux-là, j’espère que cette page vous permettra de mieux les connaître et donc mieux les apprécier. J’attends vos retours.

C’est le moment de les voir à l’oeuvre :

 


 


 


 


 


A l’issue de la prestation du duo dans une des salles du fort, nous nous sommes déplacés à l »ombre » de la fête pour échanger autour de quelques questions… Beaucoup à apprendre. Un couple dynamique et émérite à découvrir…

1- Ashley se présente. Sa femme Deborah. Depuis 20 ans. Jouent du country blues. Américains ? Anglais. Comment expliquer que vous en jouez ? « Pourquoi pas ? » Le blues depuis la jeunesse. A joué dans des groupes de rock, de blues, .. A acheté des disques des vieux bluesmen. Robert Johnson. Différences entre ces musiques ? « La country moderne n’a rien à voir avec la musique américaine traditionnelle. » Les racines : bluegrass, old-time, musique celtique,… Le blues pur : la musique noire américaine. Cela a changé par l’influence de l’Europe ; les blancs ont joué du blues aussi dans les années 20 et 30. Mélange surtout avec l’invention de la radio, du gramophone. Trouver les vieux vinyles, des 70 tours. Pourquoi faire de la musique au lieu d’une autre profession ? « Je suis inutile pour tout sauf cela ! »

2- Quelqu’un de la famille déjà musicien ? « Pas vraiment ! Ma mère jouait un peu de piano. » Pourquoi préférer la musique ? Pour gagner sa vie. Dès 12 à 13 ans. Au départ dans des groupes de bal. Des études comme tout le monde. A joué dans différents groupes de rock, pop, … Au début, à la guitare solo, en acoustique, en single picking. Revenu à ce style de musique à 28 ans. Comment s’est créé le groupe Rag Mama Rag ? Mariés il y a 30 ans. Au bout de 10 ans, ont trouvé qu’ils pouvaient se supporter… En voyage en Europe, après avoir vendu la maison et acheté un vieux camping-car Volkswagen, l’idée était qu’il joue dans les rues, dans les cafés. Puis elle a acheté une planche à laver (washboard ), a commencé à jouer un petit peu, puis elle a pris l’harmonica.

3- Les différents instruments utilisés ? La planche à laver : c’était vraiment une planche pour faire la lessive. N’ayant pas d’argent, les gens ont utilisé des objets du quotidien. Un cadre de bois avec une tôle ondulée se joue avec les dés à coudre. Le dobro ou guitare électrophonique. Pour remplacer aussi le banjo ? L’essor du banjo, ses possibilités. A la fin des années 20, Rickenbacker a inventé la première guitare électrique. La guitare hawaïenne,comme la steel guitar et le ukulélé.

4- Les thèmes majeurs des morceaux joués ? « Plein de choses ! Dans le blues des gens parlent de la misère. » De la musique peut-on en vivre aujourd’hui ? « Oui ! » Réducton du réseau des café-concerts. « Pour en vivre, il faut se dépenser beaucoup ! » Donc on n’est pas riche ? « Non pas encore. Plutôt faire du banking pour être riche. » Pourquoi jouer ces musiques qui viennent des USA ? En Angleterre depuis les années 40, les Américains ont ramené le swing. Dans les années 50, avant le rock’n roll , le Skiffle : Lonnie Donegan, les Beatles, Big Jim Sullivan. Vous composez ? Moins sur le dernier album. Une chanson dans un film américain : Drive Angry. Comment est-ce que l’on compose ? « Cela dépend ! »

5- Un mot : « Musique ! ». Mêmes musiques venant d’Europe mais avec un swing. Un objet ? Ne sait pas. Une guitare sinon une Cadillac. Deborah aime bien les vieilles voitures américaines. Influencé dans l’enfance par les films sur les USA ? « Peut-être oui. » Les anciennes voitures américaines à Cuba. Un bruit : la voix de Martin Luther King. Maintenant il y a un président noir. D’où vient le nom du groupe ? C’est la chanson d’un vieux bluesman. Le nom du groupe passé aux rayons X, qu’en reste-t’il ? !!!

[Déjà sur ce blog, les : Howlin’Fox Christelle des Texas SidestepKick’n ClapMade In USAPierre LorryOld West & CoRusty LegsOrville BrodyHat TrickWinks Sophie Binant Honky Tonk FarmersHughes AufrayStrapsChevy Redd SunsetTexas Sidestep – Michel Hautbois – Dominique Le Maréchal – Annabel – General Store – Big Rock – Rockincher

A suivre, l’interview de : Billy Curtis – One Way – Honkytonk Hicks – Sébastien Charlier – Dave Sheriff – The Partners – Laurette Canyon – Road Again – Bab’n Blue – Sean Taylor – …]

[[ Et puis, pour découvrir des personnalités américaines de la musique (notamment country et blues) mais aussi de la société civile, je vous invite à consulter notre blog : Points of yoUSA .]]

Les Howlin’Fox, une groupe de bluegrass qui monte…, monte … à Craponne !

17 juillet 2012

Ce groupe, les Howlin’Fox, est ma révélation du festival Happy Boots 22 de Lannion.

C’est vrai que dans le bluegrass, on est habitué au jeu de scène. Je n’ai pas été déçu, le public non plus.

Vous découvrirez, dans l’interview de Eric, le joueur de dobro, cette aventure qui lie les membres du groupe. On les jalouserait. Tout au moins on comprend que leur jeu de scène soit communicatif tant il est sincère et amoureusement vécu.

Ce groupe, si tant est que les organisateurs de bals ou festivals relèvent le pari, a la capacité de nous remuer, par leur présence, par ces chœurs, ces jeux de scène ainsi que la qualité du son, acoustique oblige. Car force est de constater que le milieu country accorde une place minime, sinon aucune, au bluegrass… Sauf quand Alison Kraus ou les percent les Top 10 à Nashville.

Ces quelques images et vidéos vont essayer de vous les faire découvrir si ce n’était déjà fait.

 

 

 

 

Venons-en à l’interview même :

– Éric, dobroïste et steel guitariste, présente les membres du groupe : Frédéric dit Walf, chanteur à la voix exceptionnelle, Pierre à la mandoline, Josselin à la contrebasse, meneur, arrangeur et leader, Séraphin au banjo, Olivier le violoniste. Comment on s’organise entre professionnels et amateurs ? Le groupe fonctionne sur un lien d’amitié très fort : amis d’adolescence mais pas seulement puisque 19 à 47 ans d’âge. Lien très fort. Josselin, le contrebassiste est professionnel ; Olivier, violoniste prof de musique. Vous-même n’aspirez pas à devenir professionnel ? Sécurité de l’emploi comme fonctionnaire : prof d’histoire. Intermittent, c’est précaire. Mandoliniste : maréchal ferrant. Banjoïste : étudiant en médecine. Le chanteur travaille dans un garage comme peintre en carrosserie et illustrateur. Comment s’est créé le groupe ? Les Greengrass Boys, il y a plus de 20 ans, dissous il y a 10 ans. Le groupe dans sa forme actuelle, crée il y a 3 ans, accueilli par le festival bluegrass de la Roche sur Foron en 2010 et 2011. Cette année à Craponne. Un nom en rapport avec le renard ?

***

– Le bluegrass ? Ancêtre et parent de la country, du Kentucky, des années 40 : selon Bill Monroe, un mélange musique appalachienne gospel baptiste a-capella. Avec des éléments de blues de musique irlandaise et écossaise. Pas d’amateurs tièdes. Des normes ,des règles dans le bluegrass, une grande liberté beaucoup de contraintes ; les instruments plus les harmonies vocales. Le newgrass ? Né dans les années 70 : du pop rock avec des instruments bluegrass .Où situer Alison Kraus ? Plutôt du bluegrass classique. Elle permet au public country de découvrir le bluegrass. Comment vous situez-vous dans l’univers de la country ? Écoute beaucoup de western swing, le honky tonk des années 50, Alison Kraus, Hank Williams 3. Ne se reconnait pas dans toute la new country.

***

– Comment on vient à cette musique étant français et normand ? « On est choisit par le bluegrass ! Un jour il y a une rencontre, ça marche ou ça ne marche pas. » 1976 chaine hifi achetée par son père. Électrochoc à l’écoute d’une compilation de disques de Johnny Cash, Flat & Scruggs, achetée par un oncle hippie. Musicien amateur, rédigeant des articles dans le Cri Du Coyote, dans Rock and Roll revue, sur la country des années 50. Comment expliquer la vogue de la country sur la France, en Europe ? Ça remplit un vide : auparavant les musiques traditionnelles folk, elles n’ont pas été aidées, les musiciens traditionnels morts de vieillesses donc pas de relai. La musique country est une musique sociale : Il y a de la place pour tout le monde. Principalement des gens de 40 à 50 ans, qui ont un rêve d’Amérique. Dans les années 80, a grandi et bouffé du western à tire-larigot, pas forcement l’Amérique réelle : du fantasme, du rêve. Les hellfest, les rave parties : pas familial. Les projets du groupe ? Craponne [le 25ème Festival Country Rendez-Vous] : une grosse pression sur le dos. En 2013, le 3ème album.

***

– Un mot : rêve. Qu’est-ce-à dire ? Les USA, c’est un pays d’opportunité, de légende d’accomplissement pour les européens : référence au président Kennedy et le défi d’aller sur la lune avant 10 ans et la lutte contre la ségrégation : les idées de Martin Luther King ils ont réussi à vaincre le racisme « Même quand ils ont des problèmes, ils arrivent à trouver des solutions ! » Un objet : la fusée Saturne V. Un rêve concrétisé : « Ils se sont dit on y va et ils l’ont fait. On manque de ça en Europe on est frileux, on est vieux . » Un son : le train.

***

– Si on passe le nom du groupe aux rayons X qu’est ce qu’il en reste ? Un groupe de copains. Quel effet sur la musique ? « On se connait comme un vieux couple. » Pas de conflits.

***

Voilà ce que les Howlin’Fox ont à nous dire, nous ont donné à voir comme à entendre.

Il reste à leur donner rendez-vous cette année à Craponne puisqu’ils y joueront en ouverture de soirée du dimanche.

En leur souhaitant un vif succès.

[Déjà sur ce blog, les :

Christelle des Texas SidestepKick’n ClapMade In USAPierre LorryOld West & CoRusty LegsOrville BrodyHat TrickWinks Sophie Binant Honky Tonk FarmersHughes AufrayStrapsChevy Redd SunsetTexas Sidestep – Michel Hautbois – Dominique Le Maréchal – Annabel – General Store – Big Rock – Rockincher

A suivre, l’interview des :

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Quand Texas Sidestep se conjugue au féminin.

17 juillet 2012

Rencontré dans le passé en Alsace, en Bretagne, nous avons retrouvé les Texas Sidestep en Bretagne encore, à l’Hermitage, en octobre 2011.

Cette soirée a été marquée par la présence de Wayne Law venu remplacer le chanteur malade…

Je n’ai pas réalisé, à cette occasion, d’images vidéo. Dommage !

Cela a été l’occasion de compléter l’interview que nous avions réalisé au festival Pow Wow de Steinbourg en 2010.

Je souhaitais pouvoir échanger avec la femme du groupe. A l’Hermitage, la rencontre a eu lieu après le concert.

Voici venu le temps d’accorder la parole à Christelle.

 

– Christelle Kohler se présente : violoniste, deuxième voix et mandoliniste, depuis plus d’une dizaine d’années. Comment la country ? Depuis toute petite, par sa sœur : elle s’était faite offrir un vinyle de compile de chansons. Puis écoute de l’émission de Georges Lang [WRTL Country]. Vu à la télé qu’on pouvait danser dessus. Cherche à danser ça dans sa région puis conduite à changer de région : en Alsace, là-bas quelques clubs de danse qui en jouaient. Recherche un club de danse. Dans les bals avec orchestre. Joue du violon classique depuis son enfance. Suspension pendant les études. Voulant en rejouer sur ses musiques-là, en a parlé au président de son club : a commencé avec Texas Sidestep qui recherchait un soliste, un violoniste. Pourquoi a accroché à la musique country ? On est attiré par une musique ou par une autre les rythmes, les mélodies ont tout de suite plu. Avec le classique on a toutes les bases. Retranscription à l’oreille, sur papier, sur une portée musicale, parce qu’il n’y avait pas de partitions dans le commerce pour le rejouer avec le groupe Au conservatoire on ne nous apprend pas tout ce qui est improvisation.

***

– Mari et femme dans un groupe, ce n’est pas banal comment est-ce qu’on s’organise ? « Ce qui est bien c’est qu’on tout le temps ensemble ». Organisation différente depuis qu’il y a des enfants. En congé parental tous les deux : la semaine à la maison et le weekend on part ensemble. Quel statut ? Mari, comme une partie du groupe, sont intermittents du spectacle, elle non. Où se font les répétitions ? Éloignés les uns des autres, parfois à 1h30 de route ou plus de leur siège chez eux. On travaille beaucoup chacun chez soi ; on répète beaucoup l’après midi du concert , lors des balances, lors des réglages, en condition concert avec toute la technique.

***

– Les morceaux à la mode évoluent en permanence, votre répertoire aussi ? Régulièrement des nouveaux, obligés d’en laisser tomber d’autres. Des projets d’aller aux USA ? Sont allés en 2006, en privé ; coté musique rien de prévu. Le groupe va t’il évoluer vers la composition de morceaux ? En train d’y travailler sur un album, le 4ème. Quels sujets sont traités ? Tout ; c’est la vie de tous les jours : l’amour ou la famille, la vie quotidienne. Tous les thèmes sont en français ou en anglais ? Uniquement en anglais : « Nous on ne se voit pas chanter de la musique country en français » , « Ça nous parait incompatible ». D’ici combien de temps pouvons-nous espérer l’écouter ? Il y a beaucoup de travail derrière : d’ici 2 ans. En tournée, combien de weekends dans l’année ? Quasiment tous : plus de 70 dates pour 52 semaines… A l’étranger ? « Oui, oui ! » Belgique, Allemagne, Suisse, Maroc

***

– Un mot : « C’est difficile ». États-Unis associés à musique country. Les grands espaces. Un objet ? « Oh là là ! J’ai pas d’idée ! » Un son ? « … »

***

Voici venu le moment de faire référence à leur toute prochaine prestation en Bretagne.

Il s’agira du Loch Western Country 2012 à Grand Champ près de Vannes en Morbihan (Bretagne).

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Old West & Co : ce n’est pas en jouant de la musique country qu’ils la diffusent à leur manière 3/3

3 mars 2012

L’intitulé de cette page peut interpeller.

En effet aujourd’hui nous allons découvrir un milieu proche de la musique country où la musique n’est pas directement apparente…

A différents festivals, alors que la musique country attire les fans, des personnes animent les lieux et nous donnent à découvrir l’univers du Far West.

Nous les avons notamment rencontrés au festival WestRennes Country Days 2011 ou au Fort Saint Père festival 2011.

Je veux parler des membres de la Old West & Co et ici plus plus particulièrement Gary et Denis.

Voici le moment de leur laisser la parole…

– Gary présente l’association Old West & Co. Au départ une affaire de copains et de collectionneurs. Une passion. Avant la musique country, l’esprit cowboy.

***

– Comment cela se met-il en place ? Cela vient naturellement. L’envie d’approcher le personnage lu dans un livre. Pourquoi auprès de public plutôt que dans un musée ? Aller vers les gens. Dans la France entière. La recherche de la vérité ‘historique). Puis Gary nous délecte avec ce qu’il développe à propos du cowboy, de son arme, le pistolet : ce n’est pas ce qu’Hollywood nous a asséné…

***

– Comment vous faites pour récupérer ce matériel en France ? L’arrivée des troupes américaines en 1916, débarquées à Brest. Le général Pershing, vétéran des guerres indiennes puis de la guerre contre le Mexique. Ces armes qu’ils ont apporté en France. La Winchester dans l’aviation. Gary est intarissable. Et puis la présence des indiens dans les troupes américaines : ce qui explique qu’on a pu retrouver des mocassins -j’ai bien dit mocassins- en Bretagne.

***

– Et la musique dans tout cela ? Cela a commencé autour d’un feu. Les nouvelles de la ville portées en chansons. Qu’en est-il des danses à cette époque du Far West ? A deux, en square, en rond. Mélange de cultures. Y avait-il des professionnels de la musique à cette époque ? Les cowboys chantant. Jimmy Rodgers. Gary découvre la musique country au travers de Tobie Keith, à Cheyenne. Mais alors , le saloon et le piano, était-ce la réalité de l’époque ? Gary n’y va pas par quatre chemin… Le saloon à travers les années, une qualité des américains en matière de conservation du patrimoine.

***

– Allez-vous régulièrement aux USA ? La pratique du bivouac comme moyen d’hébergement, moyen de vivre un peu comme à l’époque. La rencontre avec les ours dans le Montana. Combien de temps cela vous mobilise-t’il dans l’année ? Tous les weekends ? C’est une passion de tous les jours. Souhait de disposer de 80 à 85 % de matériel d’origine pour monter auw gens des choses qui ont réellement servies.L’expérience des Mureaux en région parisienne…

***

– Un mot : liberté, grands espaces, l’aventure. Un objet : « Pour nous c’est l’intégral ! » Le cheval. Un bruit ? Le train qui passe. Le cri du loup. Le hurlement des coyotes. Alors le loup ? Emblème des indiens. « Donc on est nostalgiques !!! »

***

Je vous invite, pour terminer à consulter les images suivantes.

J’espère qu’elles feront écho à ce que Gary et Denis nous ont donné à entendre.

Vu l’étendue des sujets abordés, je reste sur ma fin.

Ils nous ont dressé le tableau de l’atmosphère du Far West avec le souci de vérité, quête de Gary.

Une nouvelle occasion se manifestera-t’elle de reprendre cet échange et de vous le partager ?

[Déjà sur ce blog, les :

Rusty LegsOrville BrodyHat TrickWinks Sophie Binant Honky Tonk FarmersHughes AufrayStrapsChevy Redd SunsetTexas Sidestep – Michel Hautbois – Dominique Le Maréchal – Annabel – General Store – Big Rock – Rockincher – Pierre Lorry –

A suivre, l’interview des :

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Pierre Lorry, le West Singer que la Bretagne accueille et découvre.

28 février 2012

Récemment lors d’une soirée dédiée aux membres de WestRennes Country Dance, nous avons accueilli Pierre Lorry.
Lors de son installation sur la scène nous l’avons vu au milieu de différents instruments répartis sur la scène.
« Alors il est venu avec son groupe », la réflexion que je me suis faite.
Et puis la soirée a montré le contraire : lui seul sur scène.
Lui seul sur scène, non pas comme un manque mais comme une capacité remarquable de Pierre Lorry.
Ainsi en cours de soirée il alterne les instruments.
Parfois il en joue de plusieurs. C’est éblouissant !

 

Comme à l’accoutumée, l’occasion s’est présentée d’interviewer Pierre Lorry. Plein de bonnes choses. Les séquences sont entrecoupées des vidéos de sa prestation en novembre 2011 à Mouazé (Ille et Vilaine).

 

Pierre Lorry se présente. 20 ans de métier. Du folksong pendant les 10 premières. Bercé par Dylan, Emilou Harris, Joan Baez. Pourquoi la musique plutôt qu’une profession ? Un déclic. A 20 ans après la fac : arrêt. Depuis toujours attiré par la musique américaine. Pays merveilleux, aux grands espaces. Quelque part un grand gamin : fascination pour les cowboys, les indiens. Toujours aimé chanter en anglais.



 

– Milieu familial musical ? Trois sœurs attirées par Bob Dylan, Hughes Aufray. Rencontre avec Leann Mathis… . Jouer seul : un souhait, une obligation ? Tout d’abord au sein du groupe Phoenix country band : 10 ans d’existence . Les avantages de jouer seul : improviser, s’adapter au public. C‘est aussi une raison économique moins cher qu’un groupe. La composition ? 80% des morceaux. Ils sont peu chantés devant un public de club de danses. Des titres dont un 4ème au top line-dance, ont cependant été chorégraphiés donc sont dansés. Un petit CD en acoustique de reprise. Les sources d’inspiration ? La musique américaine . Le cadre de vie à l’américaine : grande maison en bord de rivière, deux chevaux, Comparaison avec le film Crazy Heart. Du lundi au jeudi : monter à cheval.



 

– Comment définir country, folk, jazz, blues, bluegrass ? Il suffit de regarder l’étymologie. Le folk, musique du peuple, plutôt doux, en rapport avec les protest-songs. Country, jeu de mots : pays et campagne. Un style, le folk, à écouter au coin du feu, l’autre, la country, en voiture…



 

Go’West sur les affiches ? D’abord nommé le West Singer. Puis partenariat avec le plus grand fabricant français de bottes. « Ce sont des passionnés. » Les projets ? Du repos tout d’abord. 80 dates par an sur 10 mois. Un futur spectacle dédié aux line-danseurs pour fin 2012 début 2013 avec des idées un peu loufoque …



 

– La vogue de la country, de la line-dance en France ? Ce sont des gens qui ont envie de rêver. A l’Ouest américain,aux grands espaces. La line-dance, moment très convivial. Allé aux USA ? Y est allé plusieurs fois . Le plus beau voyage en 2009, invité par les Country Music Awards. 3 jours passés chez Emilou Haris… Projet d’y retourner en juin 2012 et de passer encore 3 jours chez elle.

– Un mot ? Rêve. Le rêve américain. Lors des tournées en pays arabes, au Moyen Orient, dans les ambassades, dans les bases US, au Japon, en Éthiopie, « Partout ou j’ai joué l’Amérique cela fait rêver « Comme ces bédouins d’Éthiopie, qui connaissaient Oh Happy Days .» Un objet : Un chapeau de cowboys ou la plume d’indiens. Référence à « ces cowboys qui débarquent de leur vallée après 3 mois de solitude. On se demande s’ils ne dorment pas avec leur chapeau. » Bref le chapeau ou les bottes. Un son ? Le banjo. « Je n’en joue pas . » Sinon …….. , le cri du cowboy quand il attrape ses bêtes. » En guise de conclusion…


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A suivre, l’interview des :

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Kick’n Clap et Made In USA : ce n’est pas en jouant de la musique country qu’ils la diffusent à leur manière 2/4

29 janvier 2012

Voici la suite de cette rubrique consacrée à ces passionnés de musique country.
Aujourd’hui un couple d’animateurs d’un club de danse country en Normandie puis le fondateur et rédacteur de la publication « Made In USA« .

Dans le milieu de la country de l’Ouest de la France, qui n’a pas entendu parler de Vire, de Vaudryland, de Kick’n Clap ?

Et bien faisons connaissance avec ces deux figures emblématiques.

Marie-France et Michel Simon sont ces acteurs de diffusion de la country depuis de nombreuses années. Ils ont créé le club Kick’n Clap assurant des cours, ont initié le rendez-vous du Vaudryland. Et puis récemment encore Michel animait une émission dédiée -cela va de soi- à la musique country sur Vire FM (maintenant VFM), en Normandie.

Lors d’un stage de danse Two-Step, au printemps dernier, Claire et moi avons pu recueillir leur témoignage :

– Michel se présente. Depuis 13 ans (14 à ce jour) le club est né. Comment cela est-il venu ? Les débuts avec le club des Amis du Far West. Où avez-vous appris à danser ? A Disney (tous les 2/3 mois). A Vire dans un cours privé.

***

– Comment se monte un club ? L’essaimage. Les activités majeures du club. L’émission de radio. Comment s’est organisé le club ? La NTA, la National Teacher Association.

 

***

– Comment expliquer la vogue actuelle pour la country ? La convivialité. Des passionnés. Aujourd’hui certains viennent pour une heure de cours sans participer aux bals …

***

– Comment a commencé Vaudryland ? Il y a 8 ans. Un concept découvert en Angleterre: chorégraphie, bal sur CDs. D’autre événements marquants dans l’année ? Vaudryland, c’est trois mois plein de préparation dans l’année.

***

– Un mot : grand, étendue vaste. Un son : la pedal steel guitar. Un objet : l’étoile de shériff.

***

Voilà à l’après midi d’initiation à la danse two-step, la soirée se poursuit avec un repas convivial puis un bal sur CDs.

***************

Quelques temps plus tard, en mai, nous nous déplacions à Pontivy pour la MayFest 2011.

L’occasion de faire connaissance avec leIl s’agit de ce magazine consacré à l’univers américain dont à la musique country. Nous avons rencontré Jacques Mouchet, son fondateur.

Un petit moment d’échange avant le bal country qui accueillait Trent Willmon et Caitlin Nicol-Thomas.
– Jacques Mouchet, le fondateur du magazine, se présente. Qu’est ce qui est à l’origine de ce magazine ? Découverte de la country, il y a 8 ans (9, aujourd’hui),grâce à une émission de radio. Pourquoi la country ? Ce qu’est la country pour lui. Deux catégories d’amateurs. Créer un magazine, un défi ?

***

– Quel accueil réservé par le public ? Le bouche à oreille et la présence sur les festivals. Quel investissement au départ ? Du temps. Perçu comment par la presse ?

***


– Quel avenir pour la country ? Un phénomène de mode ? La crainte des organisateurs de festival qui repose sur la présence de danseurs. Made In USA veut faire le lien entre ces deux entités : leur faire découvrir la musique vivante, les musiciens. Place accordée aux musiciens français. Des groupes et musiciens de qualité : les Mariotti Brothers, Mister Jack, …

***
– Un objet : la Harley Davidson. Un son : la guitare électrique. Un mot : amitié, le contact chaleureux.

***

Longue vie à Made In USA !!!

Un magazine qui gagne à être connu et diffusé…

***************

Merci Marie France, Michel et Jacques pour ces rencontres enrichissantes !

C’est toujours très agréable

de rencontrer et fréquenter ces personnes

qui œuvrent pour partager

un peu -que dis-je- beaucoup de leur passion !

[Déjà sur ce blog, les :

Rusty LegsOrville BrodyHat TrickWinks Sophie Binant Honky Tonk FarmersHughes AufrayStrapsChevy Redd SunsetTexas Sidestep – Michel Hautbois – Dominique Le Maréchal – Annabel – General Store – Big Rock – Rockincher

A suivre, l’interview des :

Billy Curtis – One Way – Honkytonk Hicks – Sébastien Charlier – Rag Mama Rag – Dave Sheriff – Christelle des Texas Sidestep – Pierre Lorry – Gary et Denis de l’association Old West & Co – …]

[[ Et puis pour découvrir des personnalités américaines de la musique (notamment country) mais aussi de la société civile, je vous invite à consulter notre blog : Points of yoUSA .]]

1 juin 2018

Farm & Village, ce festival original aux Marches de Bretagne

musi[Ce bandeau manifeste le fait que cet article devrait paraitre sur le blog sus-mentionné dont je n'ai pu accès depuis le changement d'adresse électronique et d'ordinateur]

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Il s'agissait de la troisième édition de ce festival intimiste. Jusqu'à présent, je n'avais pas eu l'occasion de m'y rendre.

Voici ce que l'affiche laissait présager :

programme

J'ai donc réservé le weekend et suis parti, à Drouges, dans cette région profonde entre Retiers et La Guerche de Bretagne, tente de camping et harmonicas dans les bagages.

La thématique du festival laisse à imaginer un cadre évoquant les Appalaches, ces hauts lieux des traditions musicales Old Time et Bluegrass.

Voici quelques images de cette manifestation originale et intimiste :

On arrive sur le site. Un énorme chargeur bloque la route, sécurité oblige !

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10Voici apparaitre la scène :

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17L'espace restauration :

18On entre sur le terrain de camping. Au premier plan, les voitures vintage à l'exposition, au centre du terrain de football.

19Le camping en périphérie :

20Venons-en maintenant à la musique.

Un regret, celui d'être arrivé en retard. Je n'ai pas pu suivre la prestation de The Sugar Family, ce groupe rennais revisitant le Bluegrass.

C'est donc le second groupe à l'affiche qui m'a introduit dans le festival :

Rattlesnake Joe

Ce duo nous offre des morceaux tirés du Old Time, du Bluegrass, de Doc Watson. Un régal !

Voici Valentin :

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Ecoutez-moi cela !



Voici Julien :

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Encore une petite !

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Et puis, j'ai eu la possibilité de les interviewer. Ecrivant cela, je découvre que j'ai oublié de leur demander l'origine du nom de leur groupe.

Je vais essayer de les suivre de près. D'autant que pour le moment, ils ne disposent pas encore de CD à diffuser. Heureusement qu'il y a facebook !

 

Slim Wild Boar & His Forsaken Shadow

Sur le flyer, sa musique est classée : Country, Rockabilly, Blues, Folk. Voyons voir !

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La découverte, ici : la scie musicale. Un instrument des plus marginals, qui s'exprimait plutôt en classique.

A ce festival, il a une place de choix. Coinscidence ?

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Luke Hilly & The Cavalry

  On les annonce comme : Roots blues / Two men band.

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Percevez-vous ce coup d'oeil espiègle sur la photo suivante ?

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Molly Gene One Whoaman Band

 Une multi-instrumentiste étonnante. Ambiance sombre, lumière oblige, musique déjantée. Admirons l'énergie dégageant de la personne : voix, mains, jusqu'aux pieds.

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DSC06506La question que je me pose : qu'est-ce que cela donnerait en version acoustique ?

The Dad Horse Experience  

 On le situe dans la tranche : Keller-Gospel. Qu'est-ce que cela peut-il bien être ?

DSC06510Ici le jeu de pieds surprend. Quelle coordination ! Quelle adresse !

Il vient d'Allemagne. Dans l'après-midi, il repart dans la foulée. Quel courage !

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On le retrouve sur facebook :

The White Rattlesnake 

Ils sont classés : Heavy Blues/Rock.

 

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Harold Martinez

       C'est du Blues nous annonce-t'on !

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Sleeper Bill & Mister Tof

  Venons-en au Rockabilly ! Déjà le look !

 

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 Le samedi avait eu lieu une jam endiablée. Y jouant de l'harmonica, je n'ai pas pu en capter quelques bons moments.

Celle de dimanche se fait plus discrète :

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 Ainsi se termine ce compte-rendu auquel il manque la prestation de la Sugar Family. Dommage ! C'était le groupe qui avait ma préférence.

Aux alentours de la fête de la musique, à Melesse, j'ai pu les écouter en formation réduite, à trois : un délice. Qu'en sera-t'il quand je découvrirai la formation au complet, c'est-à-dire à cinq ?

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POST-FACE

Ce blog traite des musiques américaines.

Au départ (ici), il relate un voyage familial aux USA, en 2007, en Wyoming, Colorado et South Dakota. Si vous voulez démarrer le voyage, ici.

La liste des interviews traduites est accessible ici, parce que, tout le long de ce prériple de trois semaines, nous avons réalisé des interviews  d'américains rencontrés sur le chemin.

Depuis, voici les artistes américains renommés interviewés en France et plus précisement en région rennaise. Ils sont classés par ordre alphabétique du prénom :

Amber Digby (autre article à l'occasion de Craponne), Audie Blaylock

Bayou Roux -

Bleu Edmondson - Bob Jones - Bruce Robison & Kelly Willis 

Caitlin Nicol-ThomasCarl Clay Caulkins -

Carrie Hassler

Dan Albro David Evans -

Denise Marie

Emmilou Harris

 Franck Solivan

Gary P Nunn

Jake Penrod - JB & The Moonshine Band - Jeason Meadow - Jeff Scroggings & Colorado - Joan Kennedy - Joanna Smith - John David Kent - Justin Trevino

Kellie Rucker 

Liane Edwards

M. Callaghan - M. Soul -

Mark Chesnutt -

Mickael Jerome Browne - Mike Blakely - Mike Greene - Moot Davis

Niamh Lynn

Pine Leaf Boys 

Randy Thompson -

 Rob Ryan Roadshow - Ronnie Bowman

Rick Trevino

Sally et Chris Jones -

Samm Riggs -

Sarah Savoy -

Stephanie Urbina Jones  

The Mavericks - The Savoy Family Cajun Band -

Tony Lewis -

Trent Willmon 

Washboard Union - WC Edgar - Will Banister -

Whiskey & Women   

Zane Williams  

Lesquels connaissez-vous pour les avoir entendus, écoutés, rencontrés ?

On en reparle ?

14 mai 2018

Cette année, Country Rendez-vous Festival devient The Green Escape, et puis l'édition 2017, comme si vous y étiez !

Cette année 2018, Country Rendez-vous Festival devient The Green Escape.

Voyons ce que l'organisation nous en dit.

COMMUNIQUE-NOUVELLE-IDENTITE-THE-GREEN-ESCAPE-1

Et maintenant venons-en à la programmation même :

COMMUNIQUE-PLATEAU-1-THE-GREEN-ESCAPE-1

COMMUNIQUE-PLATEAU-1-THE-GREEN-ESCAPE-2

COMMUNIQUE-PLATEAU-2-THE-GREEN-ESCAPE-1

COMMUNIQUE-PLATEAU-3-THE-GREEN-ESCAPE-1

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COMMUNIQUE-PLATEAU-3-THE-GREEN-ESCAPE-3---

Alors 2017, qu'est-ce que cela a donné ?

Voyons cela de plus prêt et en détail : photos, vidéos, et interviews à l'appui...

 

---VENDREDI---SAMEDI---DIMANCHE---

vendredi

Nous sommes le vendredi, ouverture de ce prestigieux festival. A vous d'en juger !DSC05669

Le premier groupe, à l'affiche et donc à l'écoute, est le Rob Ryan Roadshow.DSC05659

Vraiment une entrée dans le festival, une entrée en matière (de qualité)... Une entrée endiablée sous le soleil cuisant. Aujourd'hui le soleil s'est montré plus que généreux.

La preuve, nos artistes arborent les lunettes de soleil. pas pour la frime !

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Le groupe joue différents styles de country. Cela ne dérange pas, au contraire...

Rob Ryan use de sa voix grave, qui porte. Parfois on lui trouve un air nasillard. Un autre moment, il joue des yoddles, étonnant !

Trois musiciens "efficaces" malgré leur relatif sérieux.

Déjà un public conquis.DSC05660

Rob nous interprète même le fameux Jambalaya..., en français s'il vous plaît !

Si vous prêtez attention, régulièrement il réclame une bière, se contentant pourtant d'eau minérale...DSC05661

Au rappel, l'artiste se risque au rapprochement avec la foule. Il monte sur les baffles et esquisse quelques pas de danses.DSC05671

De quoi ravir et briser l'ambiance quelque peu conventionnelle de la scène.

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Viens ensuite le Honky Tonk, plus traditionnelle. De loin, c'est un appel : je quitte le campement pour me rendre sur le festival. La pedal-steel guitar retentit. Saurez-vous y répondre ?

Des musiciens en noir alors que Jake Penrod porte un costume plus contrastant.

Le joueur de la pedal-steel brille par sa concentration.

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Le soleil s'est maintenant caché derrière la montagne. Jake quitte alors ses lunettes de soleil.DSC05680DSC05684DSC05685

Le jour descend, la lune pointe son croissant "endommagé" à la partie supérieure. Les classiques du Honky Tonk mobilisent comme ce "Guitare, Cadillac and Country Music".

La fraîcheur s'abat petit à petit, sous un ciel sans nuage.

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La scène illumine avec un fond éclairé par le logo du festival.

Au dessus de la scène, deux petits points rouges apparaissent soudain :

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Non, non ! Ce ne sont pas de OVNIs..., seulement un drone. Ne nous laissons pas distraire ! Souriez, vous êtes filmés !

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La soirée se boucle avec Gildas Arzal et le Ghost Band.

DSC05694Lors de la séance d'interview, je découvre ce personnage hors du commun, au passé personnel non conventionnel. Par exemple, son enfance au Moyen Orient et son initiation instrumentale locale. Ainsi que son parcours musical fréquentant différents styles musicaux.DSC05722

Une scène qu'il partage, ce soir (difficilement, -je rigole- Quels plaisantins ces deux gaillards lors de l'interview !) avec Eric Sitbon qui est la guest-star et pourtant, c'est son groupe qui accompagne Gildas. Qu'est ce que cela nous réserve sur scène ?

Je dois vous avouer que lors de la séance d'interview, je n'ai rien pu enregistrer. Je découvre que je ne dispose pas du cordon permettant de décharger mon appareil photo. Je prends donc la voiture et me précipite chez le photographe local qui me télécharge ce contenu sur le disque dur. Je vais ensuite au supermarché où je trouve heureusement ce cordon salvateur. Je vais devenir de nouveau opérationnel. Rien n'est gagné. J'use pour l'occasion de piles pour l'appareil photo : elles s'épuisent dangereusement...

DSC05709Le show commence fort. Une première voix féminine du festival...

La pedal-steel guitar. L'enthousiasme du public en réponse.

Puis des jeux de voix à la mode gospel ou bluegrass.

Des reprises, un vrai show. Une ambiance sur scène. une puissance ... celle du Ghost Band.

Le public vibre.

 

Cela ne plaisante pas sur scène.

Et puis le Jambalaya, mais cette fois, en américain, pas en français comme par le précédent groupe américain...DSC05707

Et puis cet instrument bizarre qui pointe le bout du nez : l'accordina.

Puis le guest, Eric Sitbon, joue avec les siens l'espace de deux compositions. Les voix, la mandoline, le dobro, bien sur le banjo vibrent !

DSC05720Gildas s'affiche maintenant en chemise à carreaux pour un morceau d'Emmylou Harris.

Deux autres guests pour un "Little Maggie" dans la pure tradition bluegrass : son neveu Glenn à la guitare et Jean Marie Redon au banjo.

Je découvre que Gildas joue de la guitare à 12 cordes Ce sont mes oreilles qui m'en ont averties.Comme quoi ... !!!

Puis il nous interprète "Jean Johnny" son tube cajun. De la concentration sur ce morceau où il exprime sa guitare électrique sur fond de dobro. Que nous révèlent les paroles ? Respect !DSC05727

Maintenant un morceau plus hard..., je veux dire plus rock.., alors country-rock !

Le show se termine enfin. Il fait appel à la foule pour chanter avec lui.

Le rappel se mute en rock électrique...

 

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---VENDREDI---SAMEDI---DIMANCHE---

 

samedi

Passons au samedi

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Bluegrass 43

Ici plusieurs guest-hosts...

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Des classiques du bluegrass.

Trop peu de temps pour les entendre ; les morceaux se découlent si vite.

Cependant l'effet de groupe sur scène. Émouvant !

Et ces voix masculines !

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Place à Niamh (prononcer /nim/) Lynn :

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Une robe ample. Voici Niamh Lynn.

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Des classiques  : Patsy Cline, Roy Orbison, Timmy Wynet, Loretta Linn, Merle Haggard...DSC05765

Le public s'associe religieusement.

Le soleil frappe maintenant de face et pourtant pas de lunettes de soleil.

 

 

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"Blue Moon Kentucky" : le public bat le rythme.

"Rose Garden", "Joleen" : on déguste !

 

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DSC05729 M. Callaghan et son groupe répondent aux questions des journalistes sous le chapiteau :

 

Ca démarre fort pour M. Callaghan. J'ai bien dit : fort. Je suis en ce moment sur le camping pour un rapide casse-croûte : bière forte, crackers, biscuits et chocolat. Je vais devoir me presser. La musique m'appelle.

DSC05785Le rythme se radoucit, plus intimiste et tendre.

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Enfin sur place. Le public s'est densifié.

Sur scène : un coup de verveine puis un second. La fiole leur a été offerte par des bénévoles, semble-t'il.

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Un dobro et des rythmes plus country-rock ? Ah ces jeunes !!!, plus tout jeunes.

Un morceau tout en douceur.

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Et puis je rejoins le chapiteau des interviews. Car c'est le moment de rencontrer Emmylou Harris :

Pas de photo d'Emmylou pendant la séance d'interview.

A peine commencée, elle doit se terminer. Le manager donne le feu vert pour les photos. Quelques minutes seulement.

Puis Emmylou est happée par celui-ci, le manager jeune mais ferme.

Pendant le show, on est autorisé à prendre des photos uniquement durant les trois premières chansons. Pour cela, nous autres, photographes accrédités, défilons par trois groupes devant la scène.

 

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Sur scène: trois femmes et un homme : Emmylou, une guitariste, une percussionniste et lui, à la basse et contrebasse. DSC05797

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ici des voix féminines.

Ambiance intimiste, recueillie. Ambiance acoustique.

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Puis les deux autres femmes interprètent quelques morceaux sans Emmylou.

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Elle qui nous parle maintenant en français, "comme une vache américaine", confie-t'elle.

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La poésie n'est pas loin.

Alors que l'harmonica évoque Bob Dylan, sommes-nous au point où la country se mute en américana ?

Des relents de gospel.

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Un morceau de Neil Young pour terminer.

 

Quel moment envoûtant avec ces choeurs féminins et le vibrato de mandoline ! Sublime ! Nous sommes au 7ème ciel !

Une ovation au rappel.DSC05822

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DSC05735Avant de jouer sur scène, les Celkilt prennent la parole :

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Une atmosphère endiablée générée par les Celkilt.(A cause des mouvements la plupart des photos sont floues...)

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Des décibels.

Le public répond présent. Bras en l'air, hochant la tête.

 

Serions-nous au festival interceltique de Lorient ?

Et ils sautent ... en kilt, s'il vous plaît !

 

Le public est attentionné, pour ne pas dire désarçonné.

Des rythmes bien évidemment celtiques, parfois des balkans, ou médiévaux (à la flute).

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Ils invitent à s'accroupir, pour ensuite sauter sur fond irlandais, bien sur !

Le public devant la scène se prête au jeu, frappant des mains.

 

On en vient aux chants de marins.

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Après la Bretagne, voici maintenant les rythmes à la ACDC.

Tout le public de Craponne reste rivé sur ce qui se passe sur scène.

Maintenant bain de foule pour le leader. Dommage pour la photo ; il aurait fallu être réactif !

Quels jeux de scène !

Ils font monter des personnes sur scène.DSC05860

On appelle à danser breton sur un air irlandais.

La violoniste, seule femme : à la hauteur. Du délire dans son jeu de scène !

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Je n'oublierai pas non plus le flûtiste.DSC05838

L'Amérique country a son rock sudiste... Et si Craponne avait son rock celtique !

Le public est resté jusqu'au bout...

---VENDREDI---SAMEDI---DIMANCHE---

 

dimanche

Sonic CatsDSC05873

Qui est ce groupe ? il vient à nous :

Dès le début on est au fait.

Toutefois, je récupère un wrap bio et frites à manger.

Le temps de manger et le show se déroule.

J'arrive pour la reprise d'un standard et prend quelques photos.

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On ne peut pas être partout ! ... sans parler de l'appel à la danse durant l'entre-scène. C'est pourquoi je n'en rapporte pas plus.DSC05897

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Jeff Scroggings & Colorado

DSC05872Ecoutons les membres de ce groupe de bluegrass se présenter :

Tout de suite l'ambiance !DSC05910

Les mélodies. Les voix.

Il tente quelques mots en français.

L'émotion monte au moment d'un air de Merle Haggard.

Un jeu instrumental éblouissant.

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Un challenge féminin-masculin respectivement au violon et mandoline avec en appui la guitare et bien sur la contrebasse pendant que le banjo s'affaire de son coté.

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Le contraste père et fils, au banjo et à la mandoline. Le père aux cheveux longs , le fils plus traditionnel.

Un jeu de guitare à la verticale. "C'est l'histoire de deux pommes de terre..." East Virginia Blues".

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Quelle concentration !

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Des morceaux à la demande : " Blue Moon Kentucky", "Honky Tonk Tenessee"

Avec rappel avec un morceau de Johnny Cash.

 

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DSC05892Bleu Emondson se présente à l'interview :

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Bleu Edmondson annonce la couleur : de la Red Dirt Music.

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La guitare acoustique s'entend.

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Quelques élans psychédéliques.

C'est bien dosé !

Le contraste avec le groupe précédent.

Un rappel en acoustique. Je suis trop loin pour le photographier ou le capter.

 

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les Steve’N’SeaGullsDSC05982

Avant de découvir les phénomènes sur scène, écoutons-les lors de la conférence de presse :

 

Déjà des influences celtiques.

Ca déménage. Le public réagit.

 

 

DSC05942Je ne peux pas m'empêcher de vous livrer toutes ces photos, pour vous dire l'ambiance :

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Un morceau de Trust, en français : "Antisocial". La foule reprend et vibre.

Elle est conquise par les effets de scène.

Un rythme endiablé.

Le bottleneck et l'accordéon : les hourras du public...

Une présence sur scène : le moins qu'on puisse dire !

A la fin, le public lance le rappel immédiatement.DSC05962DSC05956

"Born To Be Wild" !DSC05959

 

 

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La flute s'harmonise avec le banjo. Sublime ! Et DSC05965l'accordéon reprend, la foule,elle, la mélodie. Puis "Born To Be Wild" !

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Et c'est fini...

 

 

 

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The Savoy Family Cajun Band

Cela commence par la pluie. Les imperméables. Les ponchos sortent des sacsDSC05991.

La musique continue. Les nuages passent. La lune pointe son croissant (moins endommagé que la veille).

La soirée s'annonce merveilleuse pour ceux que la pluie n'aura pas fait fuir. "La pluie, c'est que de l'eau !", comme le dit Wilson , un des fils Savoy.

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Puis Sarah rejoint le groupe familial. Elle remplace son père le temps d'un air de Johnny Cash. Le papa revient ; elle se met au triangle.DSC06005

Sarah chante, le violon répond.

 

 

 

 

 Maintenant, un morceau à trois (mère et fils), en anglais, qui swingue. Nous sommes dans l'intimité d'un bar : ambiance feutrée. La nuit est tombée.DSC06012

"I love you ! I love you ! I love you !..."

Ovation  !

Les deux frères au violon, la mère au triangle, sur un thème qui tourne en dérision la religion. 

Craponne cuvée 2017 se terminera par un boeuf réunissant les artistes.

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Voici pour terminer, l'écho de la conférence de presse qui était si chaleureuse :

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L'un des frères Savoy complète ce qui vient d'être dit à propos du zydeco :

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8 mai 2017

L'American Tours Festival 2017 après le cru 2016

Comme chaque année, j'ai l'occasion d'aller à ce festival grandiose.

J'y vais surtout pour écouter les artistes canadiens lors de la Nuit Canadienne organisée par Franck Boucheraud. L'année dernière, je m'y suis pris trop tard pour solliciter d'interviewer les artistes, à savoir JOAN KENNEDY et les WASHBOARD UNION.

Initialement, j'avais accordé ma préférence au second groupe, parce qu'il m'apparaissait plus trad, à cause de son allure bluegrass.

Eh bien ! La réalité a donné raison à Joan. Joan a beaucoup de talent.  Etonnant !

Découvrons-les en image et son :

Place à Joan Kennedy

Joan Kennedy2

 

Quel plaisir d'écouter ce duo féminin !

Joan Kennedy3

 

Joan Kennedy4En court de soirée, Joan se mêle au public.

 

Joan, une personne rayonnante.

Joan Kennedy6

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Et maintenant, les Washboard Union

 

Washboard Union1

 

Alors, sur scène, les Washboard se font remarquer par leur fougue et leur bonne humeur communicative.

 Washboard Union3

 

Washboard Union4

 

Washboard Union5

Washboard Union6---

L'année dernière, je suis aussi allé à Tours pour écouter JOHNNY HALLIDAY. Malheureusement, mon organisation de covoiturage pour le retour verrs Rennes a raccourci la soirée. Je n'ai donc pas pu savourer l'entièreté de son concert.

Et puis dans un des halls, j'ai aussi écouté les BARNSTOMPERS.

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Maintenant abordons le cru 2017.

visuel-ATF-2017-03-24

Cette année, comme vedettes nord-américaines, outre la Nuit Canadienne, autour de TRISTAN HORNCASTLE et de PRESCOT BROWN, nous aurons droit à ZZ TOP et BRIAN SETZER.

Sur mon autre site, j'aborde les autres vedettes européennes suceptibles de m'intéresser, surtout celles en rapport avec la country, le bluegrass, le rockabilly, comme les CACTUS PICKERS, RIENDANSTONFOLK, RENCONTRE FOLK COUNTRY & WESTERN (RFCW), sans parler des INSUS.

Encore une fois, la palette de choix est très variée.

Je ne détaille pas non plus toutes les autres animations qui font ce festival : consultez le site du festival.

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